En High Tech, rien n’est écrit. Apple a bénéficié d’un important soutien du secteur de l’éducation américaine, friand de sa tablette tactile, l’iPad. Cependant les mois passent et une nouvelle tendance se dessine, le Chromebook.
Le Chromebook continue de faire son chemin dans l’économie américaine. La menace pour la concurrence est réelle. Microsoft l’a compris depuis plusieurs mois puisque la firme est à l’origine d’une grande campagne de dénigrement de la politique d’utilisation des données personnelles du géant de la recherche. Le Chromebook est en particulier visé. Apple est désormais aussi menacé. Une nouvelle tendance se dessine dans le secteur de l’éducation où les étudiants et les enseignants ne semblent plus voir la « révolution » au travers de l’iPad.
Chromebook, l’avenir pour l’éducation ?
L’avenir serait le Chromebook. Pour certains, cette évolution serait contre-intuitive, étant donné que l’iPad a été salué comme « révolutionnaire » dans l’enseignement. La tablette a été perçue comme un outil permettant aux étudiants et aux enseignants de faire la transition entre les manuels traditionnels à leurs versions numériques. L’iPad a ainsi fait son chemin dans les écoles les plus onéreuses ou grâce à des aides du gouvernement.
Cette euphorie « Appélienne » n’a pas été générale. Certains établissements des 2012 n’ont pas craqué aux sirènes envoutantes de l’iPad en donnant une chance aux Chromebook de Google. Hilsborough a été à l’origine d’une expérience intéressante en proposant à 200 élèves, tout au long de l’année scolaire, des Chromebooks et à 200 autres des iPad. Le résultat est pour le moins accablant. En 2014, les élèves d’Hilsborough utilisent uniquement des Chromebooks. L’école a pris la décision de vendre tous ses iPads. Selon le corps enseignants un Chromebooks permet de mieux atteindre les objectifs finaux de l’enseignement.
L’iPad n’est pas adapté à l’enseignement.
L’iPad a souffert de sa philosophie ludique. La tablette a été perçue comme en environnement offrant de grandes possibilités de divertissement contrairement à l’esprit austère du Chromebook. L’expérience a également souligné qu’un clavier physique se montre plus efficace que l’iPad pour la prise de note tandis que la sécurité des données en cas de défaillance est garantie par l’usage du Cloud pour la solution de Google. Google n’a pas manqué de venir soutenir l’initiative d’Hillsborough en proposant 3000 unités Nexus gratuitement pour mettre sur pied un nouveau programme pilote.
De manière plus générale, tout ceci montre qu’il ne serait pas encore possible de comparer les possibilités d’une tablette à celles d’un ordinateur portable. Ce sont pour le moment deux appareils distincts par leur philosophie, leur utilisation et leur possibilité.
Aucun des deux n’est adapté à l’éducation : l’iPad obligerai les gosses à acheter du Apple pour ne pas perdre leurs habitudes, puis achèteront du Apple par habitude.
Quant à google, c’est pas mieux, et les gosses n’auront plus de vie privée…
Croire qu’Apple serait plus blanc que Google concernant la vie privée serait une erreur.
Malheureusement une tablette quelle que soit sa marque fait et fera toujours ce que fait un desktop ou un laptop , MAL et ça n’évoluera pas