Une nouvelle fuite dévoile les performances de la prochaine vitrine d’Intel, le Core i9-12900K. Testé à l’aide du benchmark Cinebench, nous avons des résultats en simple et multi-threads.
Le capture d’écran évoque le prochain processeur « phare » d’Intel, le Core i9-12900K. Cette puce embarque 16 cœurs physiques mais au travers d’une architecture dite hybride. Elle marie 8 cœurs accès sur les performances et équipés de l’Hyper_Threading et 8 cœurs accès sur l’efficacité énergétique et sans Hyper-Threading.
Core i9-12900K sous Cinebench R23.
L’engin décroche un score de plus de 30 000 points en test multi-threads sous Cinebench R23. Un tel chiffre le positionne devant le Ryzen 9 5950X d’AMD. A titre de comparaison le Core i9-10900K se situe aux alentours des 16 500 points et le Core i9-11900K de 16 200 points. Ces scores sont des moyennes de plusieurs tests.
La présence de l’utilitaire CPU Z indique une fréquence de 5,3 GHz. Les tests ont été menés à l’aide d’une carte mère Z690 Aorus Ultra prenant en charge le PCIe 5.0 tandis que la mémoire est de la DDR5 cadencée à 5200 MHz.
Le bilan en test simple cœur est tout aussi prometteur. Toujours sous Cinebench R23, ce Core i9-12900K se situe à 2050 points contre 1680 points pour son ainé le Core i9-11900K et 1530 points pour le Ryzen 9 5950X. Nous sommes devant une progression de plus de 20 % des performances. Ce chiffre est plausible sachant qu’Intel a évoqué de son coté du +19% en moyenne par rapport à Rocket Lake. Restons cependant prudent, il s’agit d’une fuite seulement.
Toutes ses rumeurs sur Alder Lake se gardent bien de préciser
l’environnement d’exécution ce qui pousserait à croire que celui-ci
serait très probablement Windows 11 pour mieux promouvoir
l’architecture hybride by Intel.
Au regard de la jeunesse du nouvel ordonnanceur de Windows 11, on peut
se poser la question sur la pérennité des performances mise en avant
qui pourraient probablement s’orienter à la baisse suite à des mises à
jour de sécurité notamment concernant de possibles failles d’exécution
spéculative.
Les patch depuis 2017 publiées pour combler les risques de possibles failles d’exécutions
spéculatives n’ont jamais réduits de manière importante les performances des processeurs grands publiques mais essentiellement les performances des processeurs des serveurs et surtout des disque SSD nvme.