En novembre dernier, Chrome est passé devant Firefox. Avec une progression constante, le butineur de Google gravit les échelons pour désormais venir voler la vedette au navigateur de Microsoft, Internet Explorer.
En quatre ans seulement, le navigateur Chrome de Google a su, par une progression sans faille, devenir l’un des navigateurs le plus utilisé au monde. StatCounter l’avait déjà évoqué en novembre 2011 en soulignant que désormais Chrome se positionnait devant Firefox. Cette fois, il s’agit d’Internet Explorer qui inéluctablement perd du terrain au profit de son challenger. Pour la première fois Chrome atteint le sommet.
Selon StatCounter, le navigateur de Google s’est imposé durant une semaine comme le numéro un. Du 10 au 16 mars dernier, il a enregistré 32,52 % de parts de marché contre 32,1% pour Internet Explorer. Bien que la différence soit minime il s’agit d’un exploit. Cependant il convient de rester encore prudent et attendre d’autres statistiques afin de confirmer ces chiffres et surtout d’observer si cette tendance se confirme.
Le moteur le plus confortable, j’avoue, pour moi qui ne surfe que sur la toile, même s’il peut lui arriver d’avoir des ratés rigolos : http://pamphletaire.blogspot.fr/2008/04/google-sarkozy-une-histoire-dhumour.html. On est bien loin des lourdeurs que je constatais sur d’autres moteurs de recherche en 2001 : « Internet, si fantastique dans son principe encyclopédique, s’affuble d’un apparat beaucoup moins reluisant lorsqu’il s’agit d’y effectuer des recherches (mon thème : l’image du médecin dans la littérature). Au-delà des paralysies dans la réception des données qui obligent à se reconnecter une bonne vingtaine de fois pour espérer harponner une faille spatio-temporelle favorable, la fulmination prend véritablement corps face au mongolisme des moteurs de recherche. Incapacité des Voilà, Lycos and Cie à chercher les sites dans l’intelligence d’une expression proposée. Les portails informatiques nous ouvrent ainsi le plus souvent des contrées abusivement chargées de plusieurs dizaines de milliers de sites inadéquats. Tout cela par le fait d’un marquage au mot sans prise en compte du sens global. La coche de l’option « la phrase exacte » n’y change rien. » Cf. http://viserlatete.blogspot.fr/2010/10/i.html.