Le prochain titre d’Ubisoft, Assassin’s Creed Shadows suscite des débats au sein de la communauté des joueurs. Depuis quelques jours des rumeurs partagées sur Reddit ont semé la confusion en affirmant que le jeu inclurait un système de passes de combat et des collaborations inattendues avec des marques comme VISA, Red Bull ou BAPE Clothing. Ces informations, non confirmées, ont poussé Ubisoft à clarifier la situation.
Le cœur de la polémique concerne le HUB Animus, une plateforme décrite comme un espace central dédié au jeu. Selon les fuites, ce hub proposerait un passe de combat gratuit intitulé « Eye in the Dark » comportant 20 niveaux de récompenses. Les joueurs pourraient y gagner des pièces Isu, utilisées pour débloquer des cosmétiques variés (personnages, armes, montures). Ces informations ont naturellement enflammées les discussions, d’autant qu’Ubisoft avait explicitement déclaré lors de l’annonce du retard du jeu qu’aucun passe de saison ne serait intégré à Assassin’s Creed Shadows.
Ubisoft a dont choisi de sortir du silence afin de préciser plusieurs points. Nous apprenons que toutes les récompenses du Hub Animus seront gratuites, qu’il n’y aura ni abonnement payant ni passe de combat payant tandis que le contenu habituel des missions sera accessible sans frais supplémentaire.
Ubisoft a également confirmé que l’Animus Hub (nom de code Infinity) est bien un logiciel en développement, mais n’a pas totalement écarté l’idée de passes de combat. L’entreprise insiste néanmoins sur le fait que ceux-ci ne seront pas monétisés.
Malgré ces clarifications, des zones d’ombre demeurent. Si tout le contenu de l’Animus Hub est censé être gratuit, des éléments suggèrent que des cosmétiques pourraient être achetés avec une monnaie en jeu, laissant planer des questions sur le rôle exact de l’Animus Hub.
Ubisoft promet de fournir plus d’informations à l’approche du lancement. En attendant, les joueurs restent divisés. Certains saluent l’idée d’un contenu gratuit centralisé, tandis que d’autres s’interrogent sur les réelles intentions de l’éditeur concernant la monétisation.