Durant la première année d’existence de Windows 10, Microsoft a mis en place une politique agressive pour forcer les utilisateurs de Windows 7 ou Windows 8.1 à accepter la mise à jour gratuite. L’entreprise a redoublé d’effort pour imposer son nouveau système d’exploitation.
Ce choix n’a pas été sans conséquence avec parfois des situations polémiques. Des soit disantes « installations accidentelles » de l’OS ont eu lieu sur des PC. En clair, Windows 10 s’est installé tout seul sans aucune autorisation de la part de l’utilisateur. Microsoft l’a officiellement reconnu en soulignant qu’il s’agissait d’une maladresse, d’une erreur involontaire.
En parallèle la notification est devenue au fil des moins de plus en plus insistante avec une disparition du bouton annulé ou pire encore l’arrêt de la fonction, pourtant universelle sous Windows, de la petit croix en haut à gauche de la fenêtre. Durant les dernières semaines, la mise à jour gratuite s’est même accompagnée d’une procédure d’installation programmée sans que l’usage de la petite croix puisse arrêter cette planification.
C’est ce qui est arrivé à un utilisateur qui s’est retrouvé sous Windows 10 sans avoir vraiment eu le choix.
Jesse Worley explique que son grand-père a très probablement cliqué sur ce petit bouton X pensant que son action était similaire à celle de toutes autres applications sous Windows. Erreur, cela n’a fait que repousser l’échéance. La mise à niveau s’est déclenchée d’elle-même un peu plus tard.
Atteint de la maladie d’Alzheimer, le grand père avait une ordinateur âgé d’une dizaine d’année avec une interface à la « Windows XP » mais sous Windows 7 afin d’être dans un univers connu et familier.
Devant cette histoire, Jesse Worley a menacé Microsoft de porter l’affaire en justice mais en laissant au géant une porte de sortie. Celle de lui accorder 650 dollars de dommage et intérêt. Microsoft aurait accepté la proposition. Sa victoire le pousse désormais a recommandé aux utilisateurs ayant subit la meme procédure de faire la même chose.
De son côté Microsoft n’a pas évoqué cette affaire et aucune déclaration officielle à ce sujet n’a été publiée.
Microsoft a-t-il peur des tribunaux ? Ce n’est pas certain car toute cette histoire se résume à une petite somme, 650 dollars. Un procès aurait été la source d’une dépense bien plus importante.
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