Microsoft est parfois à l’origine de tests très bizarres. Par exemple la firme a demandé aux utilisateurs de justifier leurs choix afin qu’ils soient validés.
Cette approche a été constatée avec le client de synchronisation OneDrive de Windows 11. Redmond a demandé de donner une raison à sa fermeture. A défaut le service restait actif. En clair Windows n’autorisait pas sa fermeture. Pour parvenir à ses fins l’utilisateur n’avait pas d’autre alternative que de sélectionner une réponse dans une liste comportant plusieurs entrées.
- Je ne veux pas que OneDrive fonctionne tout le temps
- Je ne sais pas ce qu’est OneDrive
- Je n’utilise pas OneDrive
- J’essaie de résoudre un problème avec OneDrive
- J’essaie d’accélérer mon ordinateur
- Je reçois trop de notifications
- Autre
Beaucoup soulignent qu’il manquait malheureusement l’option « ça ne vous regarde pas, laissez-moi fermer OneDrive ».
Cette nouvelle boite de dialogue est une tentative d’imposer des services. Elle débarque aux côtés d’annonces publicitaires au cœur même de Windows et d’autres produits. Elle a été ajoutée dans le courant du mois de novembre. Une capture d’écran publiée sur Reddit montre qu’elle propose deux options : Annuler (ce qui permettra à OneDrive de s’exécuter en arrière-plan) ou Quitter OneDrive. Dans ce dernier cas l’utilisateur est obligé de choisir une raison.
Les réactions ont été si négatives qu’un porte-parole de Microsoft a confirmé quelques jours seulement aprés son lancement que la manœuvre avait été stoppée. Cependant la raison serait tout autre. Dans un courriel la firme explique
Entre le 1er et le 8 novembre, une boîte de dialogue est temporairement apparue pour un petit sous-ensemble d’utilisateurs particuliers de OneDrive lors de la fermeture du client de synchronisation OneDrive, demandant des commentaires sur la raison pour laquelle ils ont choisi de fermer l’application. L’invite a été supprimée après la collecte d’un échantillon suffisant de commentaires des utilisateurs. Ces commentaires nous aident à orienter nos efforts continus pour améliorer la qualité de nos produits.
Micro$oft plus pathétique que jamais dans sa quête des données
personnelles et professionnelles (cf. espionnage industriel) des
résidents de l’établissement pénitencier de très haute insécurité
Windaube à l’instar d’un cancre à la recherche d’un bureau à
proximité d’un bon élève dans l’espoir de tricher lors d’un examen
scolaire au risque de le harceler dans la cour de récréation en
cas d’échec de la stratégie du parasite typique des entreprises
issues du tiers monde (cf. économies reposant essentiellement sur
les exportations notamment en Asie).