Lors de la présentation de ses résultats trimestriels, Nintendo a une nouvelle fois confirmé certains détails concernant le successeur de la Switch. Bien que les spécifications techniques n’aient pas été abordées, la rétrocompatibilité des jeux a été mise en avant comme un élément clé.
Rétrocompatibilité : une stratégie rassurante
Nintendo a réaffirmé que sa future console pourra faire fonctionner les jeux déjà disponibles sur la Switch. Ce choix vise à répondre à deux enjeux importants. D’une part, il permet de maintenir l’intérêt pour les titres existants, même en période de transition technologique. D’autre part, cela garantit un catalogue conséquent dès le lancement, un atout stratégique pour séduire les joueurs dès les premiers mois.
Cette annonce arrive à un moment où les ventes de la Switch accusent un ralentissement notable. La rétrocompatibilité pourrait ainsi limiter les impacts sur les ventes de jeux tout en préparant le terrain pour la nouvelle génération.
Bien que Nintendo n’ait pas encore confirmé les caractéristiques de la Switch 2, des informations circulent déjà sur ses spécifications potentielles :
- Écran OLED légèrement plus grand que celui de la Switch actuelle.
- SoC Nvidia T239, compatible avec le DLSS (Deep Learning Super Sampling) et le Ray Tracing,
- Mémoire vive de 12 Go LPDDR5X-7500 et une capacité de stockage interne de 256 Go.
Selon les dernières indiscrétions, Nintendo prévoirait de dévoiler la Switch 2 dès janvier 2025, probablement dans le cadre d’un événement dédié ou autour du CES. Sa commercialisation, quant à elle, interviendrait quelques mois plus tard, en mars.