La protection Denuvo utilisée par les acteurs de l’industrie du jeu vidéo a été malmenée ces dernières semaines. Un nouveau rebondissement vient d’avoir lieu.
Denuvo est une protection pour protéger les intérêts économiques des concepteurs de jeu vidéo. Cette DRM controversés est là pour tenir tête aux pirates. L’objectif est naturellement d’empêcher l’apparition de « cracks ». En 2015 cette mission a été réussie puisque les pirates ont été tenu en échec durant de longues périodes. Le titre Just Cause 3 est un exemple tout comme FIFA 15, Dragon Age: Inquisition ou encore Lords of the Fallen et Doom commercialisé en mai 2016.
A l’époque certains groupes Warez ont même annoncé la fin des jeux gratuits.
Jeux vidéo sur PC, d’ici deux ans il sera impossible de les craquer ?
Denuvo, des faiblesses mais pas d’obsolescence
Depuis Denuvo a progressivement dévoilé ses failles et les pirates se sont organisés. Le temps nécessaire à l’élaboration de “crack” s’est considérablement raccourcis passant de plusieurs mois à plusieurs jours pour enfin se compter en heure. Après une importante période de succès, la protection Denuvo a été annoncée comme désuète et obsolète. Pourquoi ? Denuvo a été perçue comme une solution ayant peu de marge de manœuvre pour changer radicalement son approche de la protection.
Denuvo et le piratage des jeux, une protection désormais obsolète
Cependant, cette annonce de la mort de Denuvo semble être exagérée. Du moins de récents titres comme Assassin’s Creed Origins d’Ubisoft (exploitant également VMProtect) , Sonic Forces, Injustice 2, Football Manager 2018, Need for Speed Payback et Star Wars Battlefront 2 le prouvent. Une chose est par contre certaine, tout est une question de temps. Denuvo est bien conscient de cette situation puisque cette protection a toujours été présentée comme une solution pour
« aider les éditeurs à sécuriser les premières fenêtres de vente de leurs jeux, »