La NASA avance une nouvelle estimation du nombre de planètes habitables dans notre Galaxie. Comme nous l’expliquions ici, il y a déjà quelques semaines, les récentes découvertes montrent que ce type d’astres n’est pas rare.
Le chiffre vient de tomber. Notre Galaxie, la Voie Lactée, est peuplée d’étoiles mais aussi d’exoplanètes. Toutes ne répondent pas aux critères nécessaires à l’apparition de la vie telle que nous la connaissons mais celles disposant des atouts adéquates se comptent tout de même par centaines de millions. La NASA annonce le chiffre faramineux de 60 milliards de mondes exotiques qui pourraient abriter la vie.
Exoplanètes habitable : les critères d’éligibilité deviennent moins contraignants.
Cette nouvelle estimation est avancée par la NASA suite aux données collectées pour le télescope Kepler dont la mission est de référencer les planètes habitables. Il s’agit d’un véritable bon en avant face à l’ancien chiffre, deux fois moins important. L’optimisme s’explique par de nouvelles études sur les systèmes nuageux qui démontrent leurs bienfaits pour qu’une planète puisse accueillir de l’eau à l’état liquide.
Les nuages ont des propriétés physiques qui permettent une régulation de la température d’une planète selon un équilibre entre réchauffement par effet de serre et refroidissement par une protection du rayonnement de son étoile. De plus le fait qu’une planète se présente toujours avec la même face devant son étoile (rotation synchrone) n’est désormais plus considéré comme néfaste. La vie peut facilement trouver un chemin au niveau de la zone délimitant l’hémisphère ensoleillé de celle sombre.
60 milliards est une valeur colossale et sachant qu’il existe des milliards de Galaxies, nous avons désormais des chiffres qui dépassent l’imagination.
