Il est possible de faire un parallèle entre l’expansion de notre univers physique et celui du numérique. Dans les deux cas, elle s’accroit en s’accélérant. En 2011, 5 Exaoctets (milliards de gigaoctets) de données étaient générés tous les deux jours, aujourd’hui cela ne prend que 10 minutes.
La taille de notre univers numérique est passée de 130 Exaoctets à 2837 Exaoctets entre 2005 et 2012. Désormais chaque année ce volume va doubler pour atteindre 8591 Exaoctets en 2015 et 40 026 Exaoctets en 2020. Cette profusion sans limite est à l’origine d’un gâchis puisque 23 % de ce continu est perdu faute d’être tagué et analysé et de façon globale moins de 1% est véritablement analysé.
Des problèmes de sécurité sont aussi mis en avant par IDC puisque 19% des données sont protégées tandis que 35% le nécessiteraient.
Voici quelques infographies sur ces chiffres.