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Performances de l’iPhone 5 : l’iPhone 4S ridiculisé mais pas de quoi inquiéter le Galaxy S III ?

L’un des points encore obscure autour de l’iPhone 5 concerne son processeur, présenté sous la dénomination de A6. Un premier benchmark, dont les résultats peuvent être fallacieux, il faut donc rester prudent, annonce un bond énorme en performance face à A5 équipant l’iPhone 4S ou encore A5x du nouvel iPad.

Il se laisse entendre qu’Apple joue une carte maitresse avec son processeur Soc A6. Il ne s’agirait pas d’une architecture existante qu’Apple aurait simplement personnalisée mais bien d’une architecture toute nouvelle entièrement signée de la griffe de la marque  à mi-chemin entre un Cortex-A9 et un Cortex-A15.

Le benchmark Geekbench dévoile quelques croustillantes informations supplémentaires puisque ce fameux processeur A6 serait une puce dual-core cadencée à 1,02 GHz avec un cache L1 de 32 kB et un cache L2 de 1024 KB. Il serait accompagné d’un Go de mémoire.

A6 iPhone5

Selon les résultats publiés, Apple frappe fort en pulvérisant le score de l’A5 de l’iPhone 4S ou encore l’A5x du nouvel iPAD. Là où ces deux appareils obtiennent respectivement 629 et 766, l’A6 de l’iPhone 5 affiche 1601.

A6 iPhone5

Toutefois cela n’est pas encore suffisant pour inquiéter Samsung et son Galaxy S3 qui se vante d’un score de 1723.

Tout ceci reste à prendre avec des pincettes en attendant la disponibilité attendue pour le 21 septembre prochain. Pour tous les détails, c’est ici.

Jérôme Gianoli

Aime l'innovation, le hardware, la High Tech et le développement durable. Soucieux du respect de la vie privée.

3 commentaires

  1. Il ne faut pas oublier une chose, il fait un peu moins bien que le S3 (1601 contre 1723), mais pour un processeur au moins 50% moins puissant : 2 coeurs contre 4, et 1,02Ghz contre 1,4Ghz pour le S3.
    C’est juste non négligeable, mais les anti-Apple refuseront de l’avouer…

    P.S : Après je suis un peu contre cette course à la puissance. Les smartphones sont largement assez puissant pour l’utilisation qu’on en fait à présent.

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