Nuisances sonores.
Les deux alimentations se valent sur ce critère. La NAXN 600 se révèle légèrement bruyante à l’usage mais rien de dramatique. Au repos son ventilateur de 120 mm a une vitesse de rotation assez élevée. Avec un bon boitier, le “souffle” devrait être logiquement étouffé.
Ce constat rappelle l’importance du label 80Plus. D’un côté, il permet des économies d’énergie indéniables face à un bloc non labellisé et de l’autre, il est à l’origine d’une conception optimisée de la mécanique interne du bloc où les pertes sous forme de chaleur sont beaucoup moins importantes. Si quelques dba se laissent entendre ici, un bloc non certifié peut devenir très bruyant.
Soulignons également qu’avec une certification 80Plus classique, nous avons au maximum 20 % de pertes énergétiques. Ce chiffre est en pourcentage ce qui le rend “attaché” à la puissance du bloc. Ainsi plus cette dernière est élevée et plus ces 20% représentent un grand nombre de Watts lors que le PC est gourmand. Dans notre article nous ne travaillons cas 50% des capacités du bloc.
Consommations électriques.
La différence de puissance entre les deux blocs 80Plus permet à l’Extreme Power d’être en avance de quelques Watts sur de faibles besoins énergétiques. L’écart se ressert avec la montée en charge puisque la NAXN 600 Watts prend la main en BURN CPU/GPU. Les différences restent toutefois très faibles.
Notons que le respect de l’ErP fait passer la consommation résiduelle (PC éteint) de 3Watts avec l’Extreme Power Supply Maxima à 0,8 Watts, une belle économie lorsque l’on considère qu’un PC reste sous secteur durant toutes les nuits. En une année, c’est au minimum 6 kWh d’économisés !
Avec ces valeurs de consommation (repos et burn), nous pouvons évaluer le coût financier et l’empreinte carbone de notre plateforme sur une année. Nous considérons une utilisation de 6 heures par jour.
Notre référence de travail du prix du kWH facturé est de 0,11 € (Source EDF). L’indicateur EDF carbone, en gramme d’équivalent CO2 pour la production de 1 kWh, est fixé à 43,3 grammes. Il est synonyme du taux de rejet de gaz à effet de serre induit par la production de l’électricité consommée.Cette valeur est disponible sur le site Internet EDF, c’est l’indicateur donnant le profil environnemental du kWh. Nous prenons comme référence la moyenne 2010 soit 43,3 grammes par kWh.
Les coûts financiers et l’empreinte carbone sont naturellement directement liés aux besoins énergétiques.
Coût financier annuel.
Les écarts de consommation des deux blocs ne permettent pas vraiment de les départager sur la question du coût financier. Avec la NAXN 600 Watts, le coût de fonctionnement (sous notre plateforme de test !) annuel est compris entre 28 et 73 euros
Empreinte carbone.
Les besoins énergétiques de notre plateforme se concrétisent par une pollution CO2 liée à la production de l’électricité. Pour la NAXN, notre plateforme de test a une empreinte carbone annuelle comprise entre 11 et 28,6 kilogrammes d’équivalent CO2.
Le CO2 n’est pas de la pollution!
Sans être cynique, si vous vous préoccupez réellement de l’environnement, trouvez donc des trucs qui sont vraiment de la pollution- qui donne le cancer, des difformités (comme l’agent orange ou les munitions à l’uranium appauvri), une baisse de capacité reproductive etc.
Le réchauffement catastrophique du climat du à l’homme est une fraude honteuse et un piège à con pour ceux qui se préoccupent réellement de l’environnement. Voici un article que j’ai personnellement traduit il y a quelque temps.
Bonjour Martin,
Et bien beaucoup de certitude !
Nous parlons d’empreinte carbone et de gaz à effet de serre, ce qui en soit sont deux vérités. De plus le fait de diminuer le gaspillage énergétique est bon pour le portefeuille et l’environnement dans tous les sens du terme.
Bien qu’il y ait encore et toujours des tensions sur les causes du réchauffement climatique (cela est le propre de la science, sans quoi elle ne pourrait pas avancer vers la vérité) le réchauffement est une réalité.
Que le CO2 en soit la cause ou non, importe peu. Une simple réflexion et prise position comme le “Pari de Pascal” est de toute façon la meilleure posture à adopter.
Bien sur que j’ai des certitudes, puisque que j’ai creusé la question.
En voici quelques unes:
– Le CO2 n’est pas de la pollution, c’est un gaz essentiel à la vie sur terre.
-Il n’y a pas eu de réchauffement statistiquement significatif des 1995 (citation Phil Jones)
– Le réchauffent observé au cours du 20 e siècle est à l’intérieur de la variabilité naturel
– Le graphique en crosse de hockey est une fraude scientifique.
-Les modèles climatique (sur lesquels se base les prédictions apocalyptique) sont trop incomplets pour modéliser le climat
-Il n’y a pas de consensus scientifique.
Bonjour Martin,
Nous nous sommes mal compris. Vous défendez une idée par une vérité.
Le raisonnement, l’étude et le cheminement intellectuel des différentes études sur le réchauffement climatique sont “peut-être” incertaines. Un raisonnement scientifique se doit alors d’être appliqué surtout lorsque l’on défend une thèse contraire.
Dans cette hypothèse vous pouvez juste annoncer à vos lecteurs que la conclusion n’est pas possible puisque la logique est défaillante à un moment. Cela veut dire que les études portées ne permettent pas de conclure à un réchauffement climatique mais cela n’implique pas qu’il n’existe pas, attention ! Il y a ici une différence fondamentale .
Par exemple, si une étude scientifique bancale conclue que tous les chats sont noirs, la découverte de la tromperie n’indique pas qu’il n’existe pas de chat noir.