Pour résumer l’installation d’un disque dur, il faut 30 secondes et aucun outil. Il n’est pas possible de faire plus simple. Le disque s’insère dans son logement en plaçant en premier sa connectique face à l’ouverture dédiée du boitier.
Il se repose sur une triple épaisseur de carton. La transmission des vibrations s’en retrouve minimisée et un espace de quelques millimètres apparait entre le disque et la grille d’aération.
Attention tout de même, tous les disques ne sont pas correctement emmitouflés. Avec une unité à plateau unique, le BytePac ne prévoit pas de compenser la perte de hauteur.
Il faut donc mieux utiliser un disque dur de 2.3 cm de hauteur.
Pour le branchement, le connecteur SATA et l’alimentation de disque bénéficient d’une unique connectique qui se branche sur le PowerBOx. Cette dernière accueille également l’alimentation et le câble eSATA/SATA. Pour une connexion en eSATA, il suffit juste de se passer de la clé et brancher le câble eSATA (non fourni en bundle !) directement sur la PowerBox.
Nous n’avons rien de particulier à dire ici hormis une clé imposante et une connectique au final prenant pas mal de place mais c’est un petit prix à payer face à sa modularité.
Point négatif : Fragile, même si dans point positif robustesse au touché mais c’est fragile c’est du carton. Et puis aussi nuisance sonore.
Mais ce bout de carton à quoi sert-il ? Car on voit sur la vidéo le disque est juste posé dans une boite. Avec une boite de sucre en morceau + un adaptateur vers usb ou esata n’importe qui peut fabriquer cette boite.
ce test, change un peu de ce qu’on voit d’habitude et c’est tant mieux
oui ,mais fallait y penser et oser le faire .cela parait simple apres coup ,c’est ca les bonnes idees .
Riche idée même si ce n’est pas à la portée de toutes les bourses
En même temps, c’est normal puisqu’il y a du travail humain dans ces boîtes, donc c’est légitime..
Je suis à deux doigts de craquer pour cette solution.
Ca fait du bien un peu d’écologie sur ce marché