Nous avons utilisé pour ce dossier un disque dur Barracuda XT 2 To à 7200 trs/mn. Un choix justifié pour évaluer les performances du BytePac en termes de débits (eSATA) et de refroidissement. Les interfaces USB 2.0 et eSATA sont testées sur une carte mère Gigabyte GA-X58A-U7 épaulée d’un Core i7-975x et 6 Go de DDR3. Le système d’exploitation est Windows 7 64 Bits.
Performances théoriques.
HDTach 3.01.
Avec HDTach, nous avons une estimation théorique des débits en lecture : Mémoire cache et lecture.
L’USB 2.0, encore très répandu, accuse de l’âge face aux capacités des disques durs actuels. Le débit moyen est de 36,5 Mo/s contre 109,6 Mo/s en eSATA.
On remarque également que sa bande passante limite les capacités au point de rendre linéaire les débits sur toute la surface du disque là où l’eSATA révèle le principal défaut d’un disque dur face à la technologie SSD.
ChristalDiskMark 3.01.
Nous avons ici une évaluation des débits en lecture et en écriture suivant différentes tailles de fichiers (512 Ko et 4 Ko) et de façon séquentielle. Chaque test est accompli 5 fois et une moyenne est calculée.
Nous nous retrouvons face à la même situation avec des débits en USB 2.0 bien inférieurs à l’eSATA. Ceci est vrai avec des fichiers 512 Ko mais pas avec ceux de très petites tailles. Les performances dans ce cas sont identiques. C’est le disque dur utilisé qui est à l’origine de ce constat.
ATTO Disk Benchmark.
ATTO évalue les débits (écriture/lecture) en fonction de 15 tailles de fichiers allant de 0,5 à 8192 ko. Nous avons reporté les résultats sous forme de courbe afin de mieux appréhender les différences.
Les débits progressent pour atteindre leurs maximums avec une taille de fichier de 64 ko. Il y a une différence très nette entre les deux interfaces soulignant qu’il faudra s’armer de beaucoup de patience avec l’USB 2.0 pour le transfert de plus Go.
A noter que nous avons une différence entre les deux interfaces dès le départ ce que ChristalMark ne souligne pas.
Performances réelles.
Les tests consistent à la copie de fichiers avec le transfert d’un dossier comportant 513 éléments (photos) pour une taille globale de 1,45 Go, 4 fichiers vidéo d’une taille globale de 3,05 Go et 4937 fichiers pour une taille de 1,71 Go.
La source qui devient dans un second temps la cible est un RAID 0 de deux disques Diamond Max 22 de 320 Go. Il s’agit de mettre en place un système plus rapide que notre Barracuda XT 2 To.
Nous obtenons des résultats en relation avec les différents benchmarks théoriques. L’interface eSATA est plus à même d’exploiter de grosses capacités. En écriture, l’USB 2.0 affiche des débits de 32 Mo/s pour la copie de photos, 33,8 Mo/s pour la copie de films et 26,6 Mo/s pour la copie de petits fichiers là où l’eSATA permet de profiter respectivement de 97,6 Mo/s, 109 et 37 Mo/s.
Le classement reste inchangé en lecture.
Point négatif : Fragile, même si dans point positif robustesse au touché mais c’est fragile c’est du carton. Et puis aussi nuisance sonore.
Mais ce bout de carton à quoi sert-il ? Car on voit sur la vidéo le disque est juste posé dans une boite. Avec une boite de sucre en morceau + un adaptateur vers usb ou esata n’importe qui peut fabriquer cette boite.
ce test, change un peu de ce qu’on voit d’habitude et c’est tant mieux
oui ,mais fallait y penser et oser le faire .cela parait simple apres coup ,c’est ca les bonnes idees .
Riche idée même si ce n’est pas à la portée de toutes les bourses
En même temps, c’est normal puisqu’il y a du travail humain dans ces boîtes, donc c’est légitime..
Je suis à deux doigts de craquer pour cette solution.
Ca fait du bien un peu d’écologie sur ce marché