Boitiers

Test du Cosmos II de Cooler Master

L’espace est généreux afin de fournir suffisamment de place pour travailler dans de bonne condition. Avec son poids de 22 kilogrammes, il est préférable de préparer son plan de travail afin de « tourner » autour du boitier au lieu de le tourner. De plus, l’ouverture des portes latérales demande de la place.

Cosmos II : Architecture compartimentéeCosmos II : Architecture interne

Cooler Master annonce 385 mm réservés pour la carte graphique, ce qui laisse de la marge, tandis que la hauteur maximum pour un ventirad CPU est de 190 mm. Les nombreuses ouvertures du plateau à carte mère couplées aux attaches câbles à l’arrière et à un espace de plus de 3,5 cm entre le châssis et la porte donnent un grand choix d’organisation pour l’utilisateur.

Cosmos II : Espace arrière

Le rangement du surplus de câbles et l’aménagement interne pour favoriser le passage de l’air deviennent un plaisir car aucune incompatibilité ne gâche le travail.

Cosmos II : Connecteur d'alimentation 4+4 broches +12Volts CPU

Par exemple, dans l’hypothèse où le bloc d’alimentation soit « juste » au niveau de la longueur du câble d’alimentation 4+4 broches +12 Volts dédié au processeur, une rallonge de type 8 broches P4 est disponible en bundle.

Cosmos II : Carte mère en place

Le carte mère prend place sur des classiques entretoises tandis que des vis cruciformes assurent sa fixation.

Cosmos II : Installation du disque dur dans son tiroir

Le disque dur s’installe sans outil tout comme le lecteur optique. Le premier prend place dans un tiroir amovible équipé de picots en acier montés sur des supports en caoutchouc pour limiter le transfert des vibrations. Dans le cas d’une unité 2,5 pouces,  il n’y a pas de système à clips, le tournevis est indispensable.

Cosmos II : Emplacements 5,25 pouces avantCosmos II : Fixations rapides des périphériques 5,25 pouces

Pour le lecteur optique, il faut enlever le cache baie.  Une fois en place, il se consolide au châssis en appuyant le bouton, c’est simple, rapide et efficace.

Cosmos II : Emplacement du bloc d'alimentationCosmos II : Installation du bloc d'alimentation

Cosmos II : Installation du bloc d'alimentationCosmos II : Installation du bloc d'alimentation

Le bloc d’alimentation profite d’une assise avec pads anti-vibration. Il faut enlever le cache arrière puis le fixer sur le bloc puis installer le tout dans le boitier en passant par l’arrière. Hormis le câble 4+4 broches pour l’alimentation CPU, les autres connecteurs ne poseront normalement pas de problème.

Pour la connectique du boitier, nous vous conseillons de préparer le branchement des câbles en organisant des faisceaux.

Cosmos II : Cables d'alimentation des LEDsCosmos II : Cables d'alimentation des ventilateurs

Le surplus trouve sa place sans problème à l’arrière, l’espace ne manque pas si bien que nous avons obtenu le meilleur rangement possible avec uniquement le PCIe apparent, celui dédié à la carte graphique.

Cosmos II : Optimisation du rangement des câblesCosmos II : Optimisation du rangement des câbles

Tout le monde n’a pas dans sa configuration 13 disques durs si bien que très souvent les deux cages du bas peuvent être enlevées.

Cosmos II : Cages HDD du bas amovibles

Cosmos II : Cages HDD du bas amoviblesCosmos II : Cages HDD du bas amovibles

Elles sont solidaires d’un plateau par des vis à main tandis que ce dernier est solidaire du châssis par des vis cruciformes à enlever par le dessous. Il devient alors possible  de récupérer les deux ventilateurs du support pour les fixer ailleurs par exemple au dos de la porte latérale gauche.

Cosmos II : Installation d'un ventilateur sur la porte latérale

Enfin les équerres pour les cartes filles profitent de vis à main.

Cosmos II : Equerre PCI avec vis à mainCosmos II : Equerre PCI avec vis à main

Une fois en place, l’allumage met en valeur la face avant grâce à des LED et le rhéobus du panneau de contrôle apporte une gestion de la ventilation des différentes parties du boitier (haut, devant, GPU, CPU).

Il se base se trois profils de ventilation (Low, Midlle et High). Par contre, les changements sont agaçants avec des « BIP » stridents à chaque fois que nous appuyons sur un bouton.  Ils sont inutiles puisqu’un système de couleur permet de savoir quel mode est sélectionné.

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Jérôme Gianoli

Aime l'innovation, le hardware, la High Tech et le développement durable. Soucieux du respect de la vie privée.

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