Test du Cosmos SE, une version minimaliste du Cosmos II

Cosmos SE, anatomie interne.

Les deux panneaux latéraux sont solidaires du châssis par quatre vis à main. L’espace interne se scinde en deux parties avec sur la droite une colonne rassemblant 2+ 6 emplacements 3,5 pouces (via des tiroirs extractibles compatibles 2,5 pouces) et trois baies 5,25 pouces.

Cooler Master s’est attaché à proposer un maximum de 18 emplacements pour SSD (2 par tiroir HDD 3,5 pouces + bas et haut de la colonne HDD). Sur la gauche, nous retrouvons le plateau à carte mère épaulé d’une large ouverture au niveau du socket et plusieurs orifices pour le passage de câbles surplombant l’emplacement du bloc d’alimentation équipé de deux larges patins en caoutchouc.

De base, le Cosmos SE dispose de quatre ventilateurs avec un 140 mm sur le dessus (1400 rpm, 19 dBA), deux 120 mm à LED à l’avant et un 120 mm en position d’extraction à l’arrière (1200 rpm, 19 dBA. Tout ce petit monde est de type 3-pin avec en bundle des adaptateurs Molex. Selon ses besoins il est possible de compléter ce dispositif avec deux 120 ou 140 mm sur le dessus, un 140 mm à l’avant en lieu et place des deux 120mm, un 120/140 mm sur le côté et deux 120 mm en interne au niveau de la cage à disques durs.

L’espace réservé à la carte graphique est de 276 mm contre 395 mm en démontant la cage HDD tandis que la hauteur maximale autorisée pour le ventirad CPU est de 175 mm.

Cooler Master propose de la modularité mais avec l’usage d’un tournevis puisque l’installation d’un radiateur de Watercooling de 360 mm ou 240 mm à l’avant est possible en procédant au démontage de la cage HDD et l’installation de deux supports de fixation livrés en bundle. De même, la mise en place d’un radiateur de 240 mm sur le haut est autorisée grâce au capot supérieur amovible.