Nvidia complète sa gamme de GeForce RTX 30 series avec l’arrivée de la GeForce RTX 3050. Cette solution apporte sur l’entrée de gamme la prise en charge des technologies Ray Tracing et DLSS.
La carte profite d’un GPU Ampere équipé de cœurs RT de 2ème génération et de cœurs Tensor de 3ème génération (DLSS). Si Nvidia promet des performances pour répondre aux besoins du Full HD avec des jeux modernes, nous avons également droit à des fonctionnalités comme Reflex, l’Image Scaling, un encodeur matériel et l’application Broadcast.
Nous vous proposons un bilan complet de cette nouveauté au travers d’un test de la GeForce RTX 3050 Eagle de Gigabyte. La belle s’équipe d’un refroidissement « maison ».
Cette GeForce RTX 3050 est présentée comme une mise à niveau de l’existant afin de répondre aux besoins toujours plus importants des jeux vidéo. Nvidia a lancé son premier GPU de classe « 50 » il y a maintenant 10 ans.
C’est une offre majeure chez Nvidia. Nous sommes au cœur des ventes. Pour sans convaincre, il suffit de regarder le TOP 5 des cartes gaming les plus populaires sur Steam. Nous retrouvons trois références de classe « 50 » avec les GeForce GTX 1650, GeForce GTX 1050 Ti et la GeForce GTX 1050. Lancée en 2016, cette dernière avait la mission de proposer du 60 images par seconde avec les titres de l’époque.
Cette nouvelle GeForce RTX 3050 promet le même bilan avec les jeux d’aujourd’hui mais Nvidia va un peu plus loin. Nous retrouvons une carte de la génération « RTX » et non « GTX ». En clair, son GPU, un GA106-150, s’appuie sur l’architecture Ampere.
Il dispose de cœurs RT et Tensor permettant le support des technologies Ray Tracing et DLSS. Il s’agit aussi de la toute première référence de classe 50 à proposer ces avancées. Son GPU embarque 2 560 cœurs CUDA et assure une puissance « Shader » de 9 TFLOPS. A cela s’ajoute une puissance de 18 TFLOPS pour les cœurs « RT » et 37 TFLOPS pour les cœurs « Tensor ». Son équipement assure une prise en charge de l’HDMI HDMI 2.1 capable d’assurer un débit maximal de 48 Gbps, de quoi prendre en charge un moniteur disposant d’une définition 8K à un taux de rafraichissement de 60 Hz en HDR.
En parallèle, nous retrouvons un décodage de l’AV1. Il s’agit d’une avancée intéressante car ce format commence à prendre de l’importance dans le monde du streaming. Ses promesses de compression pour la diffusion de contenu permettent de réduire les besoins en bande passante tout en assurant une qualité de rendu en hausse.
AV1 – Wikipedia
AV1 est un codec vidéo ouvert et libre de droits1 créé en 2018 et conçu pour la diffusion de flux vidéo sur Internet et réseaux IP comme successeur de VP9. (…) Il peut atteindre un taux de compression supérieur de 30 à 40 % en moyenne à VP9 et H.265/HEVC et supérieur de 50 % à H.264, le codec vidéo le plus répandu pour le streaming en 2019. AV1 permet donc de diviser par deux l’utilisation de la bande passante par rapport au H.264 mais, en contrepartie, l’implémentation de référence (libaom) consomme nettement plus de ressources de calcul que VP9 et H264, tant pour le codage que pour le décodage. Néanmoins, le développement de libaom a privilégié la correction et l’exhaustivité vis-à-vis du standard, au détriment de l’efficacité ; d’autres implémentations améliorent significativement les performances.
Cette GeForce RTX 3050 est capable de profiter des avancées proposées par l’application Broadcast. La présence d’un NVENC complet permet de streamer et faire de la visio sans surcharger leur CPU.
Nous avons d’un côté un encodeur matériel dédié à la diffusion et de l’autre l’utilisation de la mécanique des cartes RTX pour l’IS afin d’améliorer la qualité du son et de l’image (suppression du bruit audio, effets d’arrière-plan ou encore auto-frame de la webcam.).
Du coté de la technologie Reflex, elle s’adresse directement aux joueurs. Elle œuvre à réduire la latence dans les jeux afin de profiter d’une réponse « in game » plus rapide.
Disponible dans plus de 145 jeux, le DLSS est une technologie de mise à l’échelle basée sur un modèle d’IA. Depuis son lancement, plusieurs évolutions ont eu lieu afin d’accroitre la qualité du rendu tout en permettant des framerates élevés. L’objectif reste à chaque fois le même, celui d’augmenter la fréquence d’images tout en maintenant une qualité d’image comparable à la résolution native. La dernière mouture, le DLSS 2.3, utilise plus intelligemment les vecteurs de mouvement pour accroitre le détails des objets en mouvement, la reconstruction des particules, les images fantômes et la stabilité temporelle.
Nous retrouvons au cœur de son GPU 8 nm FFN de 12 milliards de transistors 2560 cœurs CUDA, 80 cœurs Tensor de 3ième génération, 20 cœurs RT de 2ième génération, 80 unités de textures et 32 ROPs. La fréquence de base est calée à 1552 MHz contre 1777 MHz en mode Boost. Son équipement comprend 8 Go de GDDR6 à 14 Gbps exploités au travers d’un bus mémoire de 125-bits. Nvidia conseille une alimentation de 550 Watts.
GeForce RTX 3060 Ti | GeForce RTX 3060 | GeForce RTX 3050 | ||
Spécifications GPU : | Cœurs CUDA | 4864 | 3584 | 2560 |
Fréquence Boost (GHz) | 1.67 | 1.78 | 1.77 | |
Fréquence de base (GHz) | 1.41 | 1.32 | 1.52 | |
Spécifications mémoire : | Mémoire VRAM | 8 Go GDDR6 | 12 Go GDDR6 | 8 Go GDDR6 |
Bus mémoire | 256-bit | 192-bit | 128-bit | |
Technologies : | Cœurs RT | 2e génération | 2e génération | 2e génération |
Cœurs Tensor | 3e génération | 3e génération | 3e génération | |
Architecture | Ampere | Ampere | Ampere | |
DirectX 12 Ultimate | Oui | Oui | Oui | |
NVIDIA DLSS | Oui | Oui | Oui | |
PCI Express Gen 4 | Oui | Oui | Oui | |
Resizable BAR | Oui | Oui | Oui | |
Encodeur Vidéo | 7e génération | 7e génération | 7e génération | |
Décodeur vidéo | 5e génération | 5e génération | 5e génération | |
Affichage : | Définition numérique maximale | 7680×4320 | 7680×4320 | 7680×4320 |
Connecteurs d’affichage standard | HDMI 2.1, 3x DisplayPort 1.4a | HDMI(, 2x DisplayPort | ||
Mode multi-écrans | 4 | 4 | 4 | |
HDCP | 2.3 | 2.3 | 2.3 | |
Spécifications thermiques/Alimentation : | Température GPU maximale (°C) | 93 | 93 | 93 |
Consommation graphique (Watts) | 200 | 170 | 130 | |
Alimentation système recommandée (Watts) (2) | 600 | 550 | 550 | |
Connecteurs d’alimentation supplémentaires | 1x 8 broches PCIe (adapter to 1x 12-pin included) | 1x PCIe 8 broches |
Nvidia ne propose pas de GeForce RTX 3060 Founders Edition. La commercialisation est confiée aux constructeurs partenaires au travers de modèles personnalisés. Pour ce dossier, Gigabyte nous a fait parvenir sa GeForce RTX 3050 Eagle 8G. Elle fait partie d’une offre basée sur trois modèles avec les GeForce RTX 3050 Gaming OC 8G, Eagle OC 8G et Eagle 8G.
Notre version s’équipe d’une robe englobant intégralement son PCB. Ce carénage en plastique est de bonne qualité. Gris souris, il met en avant la mention GeForce RTX en blanc et le nom Gigabyte. Ce look permet à la carte de se fondre facilement dans différents environnements. Il n’y a pas d’éclairage et la plaque arrière n’est pas en métal. Son rôle se limite à renforcer la structure tout en jouant un rôle de protection.
Il est intéressant de noter que l’ensemble est plus grand que la longueur du PCB.
Nous avons ainsi une conception étendue du dissipateur de chaleur afin que l’air puisse mieux circuler du haut vers le bas en terminaison de la carte. Cette approche est connue. Nommée « Screen Cooling » elle est présente sur d’autres références comme la RTX 3060 Eagle .
Son alimentation est assurée par le slot PCIe 4.0 x16 et un connecteur PCIe 8 broches. Le système de refroidissement est une solution WindForce 2X équipée de deux ventilateurs axiales de 90 mm. Leurs ailettes offrent un design triangulaire à leur extrémité tandis que des rainures courbées en surface guident l’air vers l’intérieur de la carte graphique. Ils sont capables de se mettre totalement à l’arrêt en cas de faible charge GPU. Ils ont également la particularité de tourner en sens opposé l’un de l’autre. Leur mission est de propulser de l’air au travers d’un large radiateur à fines ailettes en aluminium. Il est traversé par un caloduc en cuivre en contact direct avec le GPU.
Du coté de ses dimensions, nous sommes face à 120 x 41 mm pour une longueur de 213 mm. L’équipement comprend quatre sorties vidéo, à savoir deux DisplayPort 1.4a et deux HDMI 2.1.
Nous avons utilisé des jeux, deux définitions (1080p, 1440p), plusieurs benchmarks et des logiciels d’évaluation des prouesses GPGPU. Pour chaque titre, tous les paramètres de rendu sont au maximum. Les pilotes graphiques sont les derniers en date.
Configuration
Jeux vidéo
Benchmarks
L’ensemble de monitoring est confié à l’application GPU-Z. Les tests sont exécutés à l’air libre afin de faire abstraction des performances de la ventilation d’un boitier. Nous sollicitons au maximum sa mécanique durant 10 minutes.
Avec deux ventilateurs capables de se mettre à l’arrêt, notre RTX 3050 Eagle 8G est inaudible à faible charge GPU. Après 10 minutes de tests intensifs, notre sonomètre enregistre 42.2 dBA. La carte est audible mais pas bruyante. Elle se montre cependant plus présente que sa grande sœur la RTX 3060 équipée de 2 ventilateurs de 95 mm. Avec ses 39.6 dBA, la GeForce GTX 1660 Super Gaming OC 6G reste la carte la plus silencieuse.
Les données de GPU-Z indiquent que ses ventilateurs se stabilisent à 83% de leur vitesse maximale soit environ 2000 rpm.
La fréquence moyenne du GPU en burn se situe à 1646 MHz, soit une valeur entre les 1.77 GHz du mode Boost et les 1.52 GHz de base. De son côté, la GGDR6 se calibre à 1750 MHz. Nous observons aucune fluctuation particulière. Les fréquences sont stables soulignant une bonne maitrise de la température GPU.
Voici les besoins énergétiques de cette GeForce RTX 3050 Eagle 8G. Vous trouverez également ceux de la GeForce RTX 3060 Eagle et de la GeForce GTX 1660 Super Gaming OC.
Nous avons des besoins entre 12 et 130 Watts selon le niveau de charge du GPU. Il s’agit du meilleur bilan de notre petit comparatif. La RTX 3060 se situe entre 10.5 et 172.5 Watts et la GTX 1660 entre 18,1 et 140,8 Watts.
Voici un bilan face à la GeForce RTX 3060 Eagle et la GeForce RTX 1660 Super Gaming OC 6G. Cette solution est prise comme référence. Elle dispose d’un indice 100. Nous proposons un bilan avec ou sans les technologies Ray-Tracing + DLSS. Nous avons travaillé avec deux définitions soit 1080p et 1440p. Dans chaque cas, les options graphiques sont au maximum.
En « Rastering », cette nouvelle GeForce RTX 3050 offre un bilan intéressant. Elle se positionne devant la GeForce GTX 1660 Super Gaming OC 6G avec une avance de 12,4% en 1080p et 14.7% en 1440p.
En 1080P Full Option, nous avons des framerates toujours supérieurs à 45 images par seconde. Dans plusieurs titres, la barre des 60 images par seconde est même dépassée. A nos yeux, cette valeur offre un gameplay « optimal ». Les jeux les plus gourmands en ressource sous Watch_Dogs Legions et Metro Exodus. Ces deux titres nécessitent quelques ajustements au niveau des options graphiques pour 60 fps.
En 1440p Full Option, nous avons des framerate toujours supérieurs à 30 images par seconde. Une nouvelle fois, les titres Watch_Dogs Legions et Metro Exodus sont les plus gourmands. Cette définition est envisageable mais avec quelques concessions sur le rendu pour assurer 60 images pas seconde.
Autres benchmarks
L’activation du Ray Tracing accompagnée de la technologie DLSS est envisageable en 1080p. Avec du Full Option, les framerate se situent entre 40 et 86 images par seconde.
Si le barre des 60 fps est un impératif, il faut jouer sur le niveau des options graphiques et le paramétrage du DLSS. Nos tests sont faits avec sur le mode « équilibré ». Le 1440p devient plus problématique sous Metro Exodus et Watch_Dogs Legin où le framerate passe sous la barre des 30 images par seconde. Notre RTX 3050 Eagle 8G arrive toutefois à assurer du 44.5 fps sous Control, du 61 fps sous Shadow Of Tomb Raider ou encore du 44 fps sous Far Cry 6.
A noter que pour profiter du Ray-Tracing sans être victime d’un effondrement du framerate, il est fortement conseillé d’activer la technologie DLSS. Elle permet de booster les performances sans dégrader normalement le rendu. 3DMark propose une estimation au travers de son exercice maison “DLSS Feature Test”.
Nous pouvons observer un impressionnant gain avec l’activation de cette technologie. Le nombre d’image par seconde passe de 7.3 à 21. Nous retrouvons le même « boost » de performance avec une GeForce RTX 3060 Edge. Le ratio est de 2.77 contre 2.87.
Nvidia vise les joueurs mais notre « petite » GeForce RTX 3050 Eagle peut également accélérer d’autres calculs, en particulier dans le domaine de la création vidéo, 3D… De nombreuses applications sont capables d’exploiter sa mécanique pour profiter d’une accélération matérielle.
La GeForce GTX 1660 Super Gaming OC 6G est prise comme référence. Elle dispose d’un indice de 100 dans notre tableau. La présence d’un GPU Ampere avec des cœurs RT de 2ème génération et ses cœurs Tensor de 3ème génération permet à notre RTX 3050 Eagle 8G de se détacher nettement des prestations de la GeForce gTX 1660 Super. La différence entre les deux cartes dépasse les 57% ce qui n’est pas anecdotique. De son coté, la RTX 3060 Eagle domine avec un joli +246 %. Tout ceci se concrétise en usage courant par des dizaines de secondes de gagnées lors de rendus ou de calculs.
Blender v2.9.
Ce logiciel de création 3D est très populaire. Open Source, il regorge de possibilités allant de la modélisation 3D à l’animation 2D en passant par le rendu, la simulation, l’animation ou encore le motion tracking. Cette version prend en charge le rendu accéléré Optix Nvidia. Il peut être utilisé pour un rendu final et le rendu en temps réel dans le Viewport. Nous l’avons utilisé pour le rendu final avec trois scènes différentes, Simultaneous Render JunkShop, Pavillon Barcelone et ClassRoom.
C’est probablement sous ce logiciel où la différence avec la GTX 1660 Super est la plus impressionnante. Lors d’un rendu, nous avons d’importants gains de temps. Par exemple dans l’exercice « Pavillon Barcelone », nous passons de 470 secondes à 189 secondes pour le même rendu et de 443 secondes à 162 secondes sous ClassRoom.
Nous avons le même classement sous V-Ray avec un écart moins prononcé avec la GTX 1660 RTX (environ 21%).
Le benchmark OctaneBench (rendu de 12 scènes) confirme notre classement. Il met également en évidence les avancées de l’architecture Ampere ( cœurs Tensor de 3ème génération et cœurs RT de 2ème génération) afin d’accélérer certains calculs. Si la GTX 1660 Super ne propose aucun gain de performance, le score de la GeForce RTX 3050 grimpe de 148 points à 183.9 points, creusant au passage un peu plus l’écart avec la GTX 1660 Super.
Enfin, même constat sous LuxMark V3.1.
Avec cette GeForce RTX 3050 8 Go, Nvidia réhausse ses prestations sur l’entrée de gamme. La démarche est de proposer plus de puissance tout en déployant des technologies réservées jusqu’à présent qu’au milieu et haut de gamme. Notre modèle Eagle 8G s’équipe d’un système de refroidissement à double ventilateur performant. Il maitrise la température du GPU tout en étant assez discret. Le mode Fanless à faible charge est un « plus » permettant de rendre la carte totalement inaudible.En termes de performances, nous sommes devant une GeForce GTX 1660, avec une avance entre 12 et 14% selon la définition (1080p et 1440p). Elle assure du 60 images par seconde en Full HD et Full Option dans la majorité de nos titres. Certains jeux gourmands nécessitent de petits ajustements au niveau des options pour que cette valeur soit atteinte. Le 1440P est également possible mais en étant un peu moins exigeant sur la qualité du rendu.La présence de Cœurs RT et Tensor permet de profiter du Ray Tracing en Full HD en activant la technologie DLSS. Dans ce contexte pour la positionner, une GeForce RTX 3060 est 35% plus rapide en Full HD et 44% en 1440p. Sa mécanique assure également une accélération de certains calculs (GPGPU) avec des gains importants face à la GTX 1660 Super. Il est possible de gagner plusieurs minutes lors de rendus. Enfin, la présence du NVENC complet est un argument si vous souhaitez streamer et faire une visio conférence via broadcast.Enfin, le bilan énergétique est positif avec une demande inférieure à celles d’une GeForce GTX 1660 Super et d’une GeForce RTX 3060. Au final, cette GeForce RTX 3050 rehausse les prestations sur l’entrée de gamme tout en proposant des nouveautés !Nvidia nous promet que les GeForcce 3050 "basiques" seront disponibles à partir de 279€. Est-il cependant raisonnable de parler d’entrée de gamme à 279 € ? pas vraiment
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Voir commentaires
Super test, c'est complet et clair bravo !
Par contre -1 pour les prix... le marché de la carte graphique est devenu fou
"le marché de la carte graphique est devenu fou"
Au contraire le marché des cartes graphiques n'est pas devenu plus fou
que celui du trafic de drogue car les accros des jeux vidéos sur PC se
font généreusement plumer pour leurs dealers dont le groupe LDLC qui a
multiplié par 5 ses profits pour l'exercice 2020-2021.
https://www.groupe-ldlc.com/wp-content/themes/koncept/docs/Rapport_Groupe_2021.pdf
Et le Bitcoin qui a fait gonfler les prix des cartes graphiques ?