L’arrivée de la GeForce RTX 3050 est l’occasion pour MSI de proposer différentes versions personnalisées dont la gaming X8G.
Cette édition est le modèle le plus haut de gamme autour de ce GPU. Nous retrouvons un équipement « Premium » avec par exemple une touche de RGB, un refroidissement Twin Forzr 8, une plaque arrière ou encore du Fanless.
Cette GeForce 3050 Gaming X 8G est-elle à la hauteur de son tarif de 449 € ? Nous l’avons torturée en 1080p et 1440p Full Option avec et sans les technologies Ray Tracing et DLSS.
Sommaire.
Cette GeForce RTX 3050 est présentée comme une mise à niveau de l’existant afin de répondre aux besoins toujours plus importants des jeux vidéo. Nvidia a lancé son premier GPU de classe « 50 » il y a maintenant 10 ans.
C’est une offre majeure chez Nvidia. Nous sommes au cœur des ventes. Pour sans convaincre, il suffit de regarder le TOP 5 des cartes gaming les plus populaires sur Steam. Nous retrouvons trois références de classe « 50 » avec les GeForce GTX 1650, GeForce GTX 1050 Ti et la GeForce GTX 1050. Lancée en 2016, cette dernière avait la mission de proposer 60 images par seconde avec les titres de l’époque.
Cette nouvelle GeForce RTX 3050 promet le même bilan avec les jeux d’aujourd’hui mais Nvidia va un peu plus loin. Nous retrouvons une carte de la génération « RTX » et non « GTX ». En clair, son GPU, un GA106-150, s’appuie sur l’architecture Ampere.
Il dispose de cœurs RT et Tensor permettant le support des technologies Ray Tracing et DLSS. Il s’agit aussi de la toute première référence de classe 50 à proposer ces avancées. Son GPU embarque 2 560 cœurs CUDA et assure une puissance « Shader » de 9 TFLOPS. A cela s’ajoute une puissance de 18 TFLOPS pour les cœurs « RT » et 37 TFLOPS pour les cœurs « Tensor ». Son équipement assure une prise en charge de l’HDMI HDMI 2.1 capable d’assurer un débit maximal de 48 Gbps, de quoi prendre en charge un moniteur disposant d’une définition 8K à un taux de rafraichissement de 60 Hz en HDR.
En parallèle, nous retrouvons un décodage de l’AV1. Il s’agit d’une avancée intéressante car ce format commence à prendre de l’importance dans le monde du streaming. Ses promesses de compression pour la diffusion de contenu permettent de réduire les besoins en bande passante tout en assurant une qualité de rendu en hausse.
AV1 – Wikipedia
AV1 est un codec vidéo ouvert et libre de droits1 créé en 2018 et conçu pour la diffusion de flux vidéo sur Internet et réseaux IP comme successeur de VP9. (…) Il peut atteindre un taux de compression supérieur de 30 à 40 % en moyenne à VP9 et H.265/HEVC et supérieur de 50 % à H.264, le codec vidéo le plus répandu pour le streaming en 2019. AV1 permet donc de diviser par deux l’utilisation de la bande passante par rapport au H.264 mais, en contrepartie, l’implémentation de référence (libaom) consomme nettement plus de ressources de calcul que VP9 et H264, tant pour le codage que pour le décodage. Néanmoins, le développement de libaom a privilégié la correction et l’exhaustivité vis-à-vis du standard, au détriment de l’efficacité ; d’autres implémentations améliorent significativement les performances.
Cette GeForce RTX 3050 est capable de profiter des avancées proposées par l’application Broadcast. La présence d’un NVENC complet permet de streamer et faire de la visio sans surcharger leur CPU.
Nous avons d’un côté un encodeur matériel dédié à la diffusion et de l’autre l’utilisation de la mécanique des cartes RTX pour l’IS afin d’améliorer la qualité du son et de l’image (suppression du bruit audio, effets d’arrière-plan ou encore auto-frame de la webcam.).
Du coté de la technologie Reflex, elle s’adresse directement aux joueurs. Elle œuvre à réduire la latence dans les jeux afin de profiter d’une réponse « in game » plus rapide.
Disponible dans plus de 145 jeux, le DLSS est une technologie de mise à l’échelle basée sur un modèle d’IA. Depuis son lancement, plusieurs évolutions ont eu lieu afin d’accroitre la qualité du rendu tout en permettant des framerate élevés. L’objectif reste à chaque fois le même, celui d’augmenter la fréquence d’images tout en maintenant une qualité d’image comparable à la résolution native. La dernière mouture, le DLSS 2.3, utilise plus intelligemment les vecteurs de mouvement pour accroitre le détail des objets en mouvement, la reconstruction des particules, les images fantômes et la stabilité temporelle.
Nous retrouvons au cœur de son GPU 8 nm FFN de 12 milliards de transistors 2560 cœurs CUDA, 80 cœurs Tensor de 3ième génération, 20 cœurs RT de 2ième génération, 80 unités de textures et 32 ROPs. La fréquence de base est calée à 1552 MHz contre 1777 MHz en mode Boost. Son équipement comprend 8 Go de GDDR6 à 14 Gbps exploités au travers d’un bus mémoire de 125-bits. Nvidia conseille une alimentation de 550 Watts.
GeForce RTX 3060 Ti | GeForce RTX 3060 | GeForce RTX 3050 | ||
Spécifications GPU : | Cœurs CUDA | 4864 | 3584 | 2560 |
Fréquence Boost (GHz) | 1.67 | 1.78 | 1.77 | |
Fréquence de base (GHz) | 1.41 | 1.32 | 1.52 | |
Spécifications mémoire : | Mémoire VRAM | 8 Go GDDR6 | 12 Go GDDR6 | 8 Go GDDR6 |
Bus mémoire | 256-bit | 192-bit | 128-bit | |
Technologies : | Cœurs RT | 2e génération | 2e génération | 2e génération |
Cœurs Tensor | 3e génération | 3e génération | 3e génération | |
Architecture | Ampere | Ampere | Ampere | |
DirectX 12 Ultimate | Oui | Oui | Oui | |
NVIDIA DLSS | Oui | Oui | Oui | |
PCI Express Gen 4 | Oui | Oui | Oui | |
Resizable BAR | Oui | Oui | Oui | |
Encodeur Vidéo | 7e génération | 7e génération | 7e génération | |
Décodeur vidéo | 5e génération | 5e génération | 5e génération | |
Affichage : | Définition numérique maximale | 7680×4320 | 7680×4320 | 7680×4320 |
Connecteurs d’affichage standard | HDMI 2.1, 3x DisplayPort 1.4a | HDMI(, 2x DisplayPort | ||
Mode multi-écrans | 4 | 4 | 4 | |
HDCP | 2.3 | 2.3 | 2.3 | |
Spécifications thermiques/Alimentation : | Température GPU maximale (°C) | 93 | 93 | 93 |
Consommation graphique (Watts) | 200 | 170 | 130 | |
Alimentation système recommandée (Watts) (2) | 600 | 550 | 550 | |
Connecteurs d’alimentation supplémentaires | 1x 8 broches PCIe (adapter to 1x 12-pin included) | 1x PCIe 8 broches |
Dès la sortie de son carton, la carte impressionne. Bien que la GeForce RTX 3050 vise l’entrée de gamme, cette version Gaming X 8G opte pour un équipement digne d’une offre haut de gamme.
Nous sommes devant une carte au format double slot. Elle est imposante en raison de son système de refroidissement TWIN FROZR 8. Nous avons des dimensions de 130 x 49 mm pour une longueur de 278 mm. L’ensemble de son PCB est protégé.
D’un coté nous avons une belle plaque arrière en aluminium. Sa présence renforce la structure générale tout en jouant un rôle de dissipateur de chaleur. A ce sujet, MSI propose aussi une protection anti-pliure. Elle prend appui sur l’équerre PCIe et le PCB.
L’avant de la carte est de son côté équipé d’un carter en plastique recouvrant deux radiateurs à fines ailettes en aluminium. Ils communiquent avec la base à l’aide de caloducs en contact direct avec le GPU. Le passage de l’air est assuré par deux ventilateurs Torx 4.0.
Ils ont la particularité de s’équiper de pales reliées par paire au niveau de leur terminaison. Ce design permettrait selon MSI de mieux canaliser le flux d’air vers le système de refroidissement.
Tout cet équipement ne devrait rencontrer aucun problème pour maintenir la température du GPU. MSI est confiant si bien qu’un mode semi fanless est proposé. En clair, les deux ventilateurs restent à l’arrêt si la charge ou la température GPU le permet.
Dans ces conditions, la carte devient inaudible. A noter que cette recherche de silence se retrouve également au niveau du design des ailettes des radiateurs. MSI parle de Airflow Control. Sous ce terme marketing se cache la présence de déflecteurs afin de guider l’air et des ailettes Wave-Curved 2.0 en forme de vague censées améliorer la circulation de l’air.
La carte est annoncée avec une consommation de 130 Watts. MSI conseille un bloc d’alimentation de 550 Watts au minimum.
Ses besoins énergétiques sont assurés par le port PCIe 4.0 x16 et un connecteur PCIe 8 broches.
Enfin du coté des sorties vidéo nous retrouvons trois DisplayPort 1.4a et un HDMI
La carte profite de quelques options de personnalisation. Il est possible d’agir sur sa ventilation et sa petite zone RGB. Pour ce faire, il est nécessaire de télécharger et d’installer l’application MSI Center.
Au travers d’une interface aérée et moderne, nous retrouvons des informations de monitoring comme la fréquence GPU et mémoire, le taux de charge et la température.
L’onglet Features propose un accès au différents utilitaires installés. Dans notre cas, nous retrouvons Mystic Light, Graphics Fan Tool et System Diagnosis.
Le premier propose des options autour du RGB, comme le choix des couleurs et des effets, et certains paramètres d’exécution.
Fan Tools s’attaque à la ventilation avec la possibilité de stopper le mode Semi Fanless et d’activer un mode boost d’urgence.
A noter que MSI propose plusieurs autres petits utilitaires dans Ensembles de fonctionnalités. Une fois le choix fait, MSI Center s’occupe de les télécharger puis de les installer.
Nous avons utilisé des jeux, deux définitions (1080p, 1440p), plusieurs benchmarks et des logiciels d’évaluation des prouesses GPGPU. Pour chaque titre, tous les paramètres de rendu sont au maximum. Les pilotes graphiques sont les derniers en date.
Configuration
Jeux vidéo
Benchmarks
L’ensemble de monitoring est confié à l’application GPU-Z. Les tests sont exécutés à l’air libre afin de faire abstraction des performances de la ventilation d’un boitier. Nous sollicitons au maximum sa mécanique durant 10 minutes.
Le système de refroidissement Twin Forzr 8 se montre particulièrement efficace pour refroidir notre RTX 3050. Du coté des nuisances, la carte est inaudible à faible charge et très discrète après 10 minutes de burn intensif. Ses nuisances sonores se situent entre 0 et 37.3 dBA soit un bilan bien au-dessous de ses trois concurrentes. Même la GeForce GTX 1660 Super Gaming OC 6G, pourtant épaulée de trois ventilateurs, est plus bruyante. La GeForce RTX 3050 Eagle 8G se situe entre 0 et 42.2 dBA.
Les données de GPU-Z indiquent que la ventilation de la carte se stabilise à seulement 30% de sa vitesse maximale ce qui explique le silence de fonctionnement à pleine charge. A titre de comparaison, la ventilation de la GeForce RTX 3050 Eagle 8G se stabilise de son coté à 83% de sa vitesse maximale soit environ 2000 rpm.
Les fréquences GPU et mémoire ne subissent aucune variation importante. La stabilité est là durant tout notre exercice mettant à rude épreuve le GPU. Sa fréquence se situe en moyenne à 1700 MHz contre 1750 Mhz pour la mémoire. En sachant que la fréquence GPU de la GeForce RTX 3050 Eagle 8G se stabilise de son coté à 1646 MHz en moyenne contre 1750 Mhz pour la mémoire, nous devrions observer une différence de performances entre les deux cartes.
Aucune mauvaise surprise sur ce critère. La carte a des besoins entre 12.7 et 132.1 Watts selon son niveau de charge. Nous sommes très légèrement au-dessus des besoins de la GeForce RTX 3050 Eagle 8G (11.9 et 129.9 Watts).
Voici un bilan face à la GeForce RTX 3050 Eagle 8G et la GeForce RTX 1660 Super Gaming OC 6G. Cette solution est prise comme référence. Elle dispose d’un indice 100. Nous proposons un bilan avec ou sans les technologies Ray-Tracing + DLSS. Nous avons travaillé avec deux définitions, 1080p et 1440p. Dans chaque cas, les options graphiques sont au maximum.
Face à la GeForce GTX 1660, notre GeForce RTX 3050 Gamong X 8G réhausse les performances de 16.9% en 1440 Full Option et 14 % en 1080P Full Option. Nous avons également la confirmation de notre hypothèse suite à l’analyse de la fréquence GPU face à celle de la RTX 3050 Eagle 8G. MSI propose un petit coup de pouce dans les deux définitions. Le gain est de 1.6% en 1080p Full Option et 2.2% en 1440p Full Option.
Tout ceci se concrétise par une mécanique capable d’assurer 60 fps en Full HD et Full Option à l’exception de deux titres Metro Exodus et Watch_Dogs Legion. Dans ce cas, une légère modification des options graphiques est nécessaire pour franchir cette valeur de 60 images pas seconde, garante à nos yeux d’un gameplay fluide et agréable. Le « must » est plus musclé avec 90 fps.
Le passage à 1440p Full Option sollicite d’avantage la carte. Si plusieurs jeux offrent encore du 60 fps ou plus, le bilan est plus contrasté. L’ajustement du niveau de rendu devient nécessaire avec Far Cry 6, Control, Watch Dogs Legion et Metro Exodus.
Autres benchmarks.
La GeForce RTX 3050 Gaming X 8G se retrouve une nouvelle fois devant la version Eagle 8G. L’avance est de 2.7% en Full HD (1920 x 1080 pixels) et de 3.4% en 1440p (2560 x 1440 pixels). Nous avons pris comme référence les scores obtenus avec la GeForce RTX 3050 Eagle 8G.
L’activation du Ray Tracing est envisageable en 1080p Full Option mais avec la technologie DLSS.
Dans ces conditions, nous avons des framerate compris entre 40 et 89 images par seconde. Dans certains jeux, le Full Option n’est pas possible pour conserver 60 fps.
Le 1440p Full Option n’est pas exclu mais nous sommes aux limites de la carte. La barre des 30 images par seconde n’est pas atteinte sous Metro Exodus tandis que les 60 fps ne sont observables que sous Shadow Of Tomb Raider.
Nous avons souligné que la technologie DLSS était indispensable pour conserver un bon gameplay. Cette technologie permet de profiter du Ray-Tracing sans être victime d’un effondrement du framerate. Il est fortement conseillé de l’activer.
L’exercice « DLSS Feature Test » de 3DMark propose une estimation des gains possibles. Dans ce test, le framerate passe de 7.5 fps à plus de 21fps.
Nvidia vise les joueurs mais notre « petite » GeForce RTX 3050 Eagle peut également accélérer d’autres calculs, en particulier dans le domaine de la création vidéo, 3D… De nombreuses applications sont capables d’exploiter sa mécanique pour profiter d’une accélération matérielle.
Une nouvelle fois, nous prenons comme référence les prestations de la GeForce GTX 1660 Super Gaming OC 6G. La carte dispose d’un indice de 100 dans notre tableau. La présence d’un GPU Ampere avec des cœurs RT de 2ème génération et des cœurs Tensor de 3ème génération permet à la RTX 3050 de proposer des prestations de toute autre nature. Le bilan est impressionnant en grande partie grâce aux accélérations constatées lors de certains rendus 3D (voir détail).
La différence avec la GTX 1660 dépasse les 57% et atteint la barre des 59% avec la version Gaming X 8G de MSI. Tout ceci se concrétise en usage courant par des dizaines de secondes de gagnées lors de rendus ou de calculs.
Blender v2.9.
Ce logiciel de création 3D est très populaire. Open Source, il regorge de possibilités allant de la modélisation 3D à l’animation 2D en passant par le rendu, la simulation, l’animation ou encore le motion tracking. Cette version prend en charge le rendu accéléré Optix Nvidia. Il peut être utilisé pour un rendu final et le rendu en temps réel dans le Viewport. Nous l’avons utilisé pour le rendu final avec trois scènes différentes, Simultaneous Render JunkShop, Pavillon Barcelone et ClassRoom.
A l’image du test de la GeForce RTX 3050 Eagle 8G, ce test dévoile les plus importantes différences avec la GTX 1660 Super. Lors d’un rendu, nous avons d’impressionnants gains de temps. Par exemple dans l’exercice « Pavillon Barcelone », nous passons de 470 secondes à 186 secondes et de 443 secondes à 159 secondes sous ClassRoom.
Le bilan est identique sous V-Ray avec néanmoins une différence moins marquée (21%).
Même constat avec le benchmark OctaneBench (rendu de 12 scènes). Ce test met aussi en évidence les avancées de l’architecture Ampere (cœurs Tensor de 3ème génération et cœurs RT de 2ème génération) afin d’accélérer certains calculs. Si la GTX 1660 Super ne propose aucun gain de performance avec l’activation du RTX, le score de la GeForce RTX 3050 Eagle 8 Go grimpe de 148 points à 183.9 points et celui de la GeForce RTX 3050 Gaming X 8G de 150 à 185.3. Une nouvelle fois, la version de MSI est légèrement plus puissante que l’Eagle 8G.
Enfin, même bilan sous LuxMark V3.1.
Avec cette GeForce RTX 3050 Gaming X 8G, MSI propose une version retravaillée de la RTX 3050 de Nvidia. La personnalisation concernent de nombreux aspects allant de la mécanique au refroidissement en passant par le look et la robe.La carte profite d’un traitement « Premium » avec une système de refroidissement diablement efficace. Le GPU ne dépasse pas les 57°C avec deux ventilateurs à 30% de leur potentiel. Ce bilan se concrétise par une fréquence stable et un fonctionnement silencieux. C’est probablement l’argument de cette carte graphique. Son Twin Forzr 8 est redoutable ce qui permet à la mécanique de s’exprimer tout en protégeant nos oreilles. Du côté des performances, pas de surprise. Nous retrouvons les prestations d’une GeForce RTX 3050 avec un bonus de 2 à 3% ce qui est toujours bon à prendre. Face à une GeForce GTX 1660, l’avance est de 14.1 % en 1080p Full Option et 16.9% en 1440p Full Option. Elle assure 60 images par seconde en Full HD et Full Option dans la majorité de nos titres. Certains jeux gourmands nécessitent de petits ajustements pour que cette valeur soit atteinte.Elle permet aussi de profiter du Ray Tracing en Full HD en activant la technologie DLSS. Dans ce contexte, nous vous conseillons de ne pas dépasser 1080p. Enfin, sa mécanique assure également une accélération de certains calculs (GPGPU) avec des gains importants face à la GTX 1660 Super sans cœurs RT et Tensor.Nous arrivons à la fin de ce test. Cette GeForce RTX 3050 Gaming X 8G est-elle LA RTX 3050 du marché ? Probablement. Elle offre des prestations haut de gamme en matière de refroidissement, de silence de fonctionnement, de conception et de look. Par contre, le tableau se noircit à l’évocation de son tarif. Annoncée à 449 €, elle est 61% plus chère qu’une GeForce 3050 "basique" au prix recommandé de 279 €. Nous ne sommes plus sur le terrain de l’entrée de gamme pour une carte visant avant toute chose le Full HD…
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