Le BIOS profite d’une interface conviviale avec l’usage de la souris. L’UEFI (Unified Extensible Firmware Interface) apporte de gros changement d’ordre esthétique avec une présentation des paramétrages plus agréable et compréhensible. Le glisser-déposer (pour le paramétrage de l’ordre de démarrage) fait son apparition.
Les novices pourront appréhender sans difficulté les paramétrages de base au travers de l’« EZ mode » qui rassemble un ensemble de paramètres et d’information minimalistes. L’utilisateur peut choisir l’unité de boot et le mode de fonctionnement de la carte parmi trois choix. Le passage du curseur de la souris sur un mode permet de visualiser sur une figure à gauche les bénéfices en performance, silence et économie d’énergie.
Pour les plus chevronnées, l’Advanced Mode regorge de paramètres au travers de six onglets sachant que la caserne d’Ali baba est « Ai Tweaker ».
Voici des captures d’écran.
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Comme nous le disions plus haut dans l’article, l’EPU, le TPU et le DIGI+ Power Control sont accessibles sous Windows via une partie logicielle très complète. La richesse est telle qu’il faut du temps, de la patience et des essais pour appréhender les implications de chaque option.
Tout est disponible au travers d’un lanceur d’applications qui se charge au démarrage L’interface est intuitive avec un menu outil qui regroupe les fonctions d’optimisation, d’économie d’énergie, de surveillance matérielle et de gestion de la ventilation.
La partie traitant de L’EPU donne trois profils de configuration : Auto, Haute performance et Economie d’énergie maximale. Chacun s’accompagne d’un graphique montrant les avantages et les inconvénients en termes de bruit, performances, commodité, énergie économisée. L’utilisateur peut à tout instant modifier les paramètres par défaut (configuration) et l’EPU Status montre sur quel sous système de la configuration l’action est portée. Enfin, un compteur informe sur les réductions d’émission de CO2.
Le « DIGI + Power Control » se scinde en deux interfaces distinctes dédiées au processeur et à la mémoire. Il permet d’agir à plusieurs niveaux allant du contrôle des phases d’alimentation à la qualité de la fréquence de la tension.
Le TPU est une solution autonome et automatique d’overcloking. En choisissant « Rapide » ou « Extrême », le TPU va rechercher, au démarrage, les meilleurs paramètres d’overclocking tout en assurant une bonne stabilité du système.
La pratique de l’overcloking dans de telles conditions est un jeu d’enfant. Il faut tout de même bien garder à l’esprit qu’il faut adapter sa configuration à une telle pratique. En clair avoir de quoi assurer un refroidissement correct et une chaine de composants équilibrés sans quoi les bénéficies ne seront pas de longues durées.
Enfin, le dernier poids lourd de cet ensemble est « Probe II » qui est une sorte de sentinelle. Sachant que chaque modification de paramètres en dehors de ses plages de recommandations standards a des conséquences sur la demande énergétique, la chaleur et la sollicitation de certains composants annexes, Probe II met en place des alertes en cas de dépassement de valeurs jugées dangereuses pour la stabilité et le bon fonctionnement de la plateforme (températures, vitesse de rotation des ventilateurs..).
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