HDTach 3.01.
Avec HDTach, nous avons une estimation théorique des débits en lecture : Mémoire cache et lecture.
Le débit moyen, 79,1 Mo/s, en lecture est identique entre l’USB 3.0 et le SATA 3 Gb/s. Le cache s’exprime de façon plus rapide en SATA avec 182,6 Mo/s contre 162,8 Mo/s en USB 3.0.
HDTune Pro.
HD Tune Pro offre une évaluation des débits en mode lecture et écriture avec trois valeurs : le débit maximal, le débit minimal et le débit moyen.
Les débits sont très proches entre les deux interfaces. L’USB 3.0 prend légèrement la main en écriture avec un débit de 71, Mo/s contre 67,2 Mo/s en SATA 3 Gb/s.
ChristalDiskMark 3.
Nous avons ici une évaluation des débits en lecture et en écriture suivant différentes tailles de fichiers (512 Ko et 4 Ko) et de façon séquentielle. Chaque test est accompli 5 fois et une moyenne est calculée.
Sous ce benchmark, les scores sont identiques à quelques Ko/s près. Rien ne permet de départager les deux connectiques. L’USB 3.0 se montre à la hauteur des transferts SATA 3 Gb.s. Nous avons ici un équilibre des échanges entre périphériques internes et externes.
Benchmarks FuturMark.
PCMark Vantage permet de comparer l’attitude de chaque disque sous différents exercices sous Windows Vista ou 7. Il intègre des exercices multimédia avec de l’édition vidéo, de photos et de musiques.
En général, le SATA 3 Gb/s se montre plus véloce que l’USB 3.0 surtout dans l’exercice “Media Center” où plus de 30 Mo/s séparent les deux connectiques. L’USB 3.0 prend légèrement la main en mode “Gaming” et “Music” mais rien de très concluant pour le différencier.
ATTO Disk Benchmark.
ATTO évalue les débits (écriture/lecture) en fonction de 15 tailles de fichiers allant de 0,5 à 8192 ko. Nous avons reporté les résultats sous forme de courbe afin de mieux appréhender les scores.
Nous avons reporté les résultats en USB 3.0, SATA 3 Gb/s et USB 2.0. Avec un capacité de 1,5 To, ATTO met en lumière la faiblesse des débits en lecture et écriture de l’interface USB 2.0 cantonnés respectivement à 34 Mo/s et 27 Mo/s au maximum. Dans ces conditions, il faut s’armer de beaucoup de patience lors de gros transferts !
Lors de la manipulation de fichiers d’une taille comprise entre 0,5 et 8 ko, le SATA 3 Gb/s est en tête face à l’USB 3.0. Dans cet interface, les différences de performances en moyenne sont de 40% en lecture et 30% en écriture. Passer la barre de 16 Ko, les deux interfaces sont équivalentes. Une des explications possibles se trouvent peut être dans la gestion de l’USB 3.0 encore jeune qui ne cesse d’être amélioré actuellement. Regardons à présent si nous observons ce même type de comportement lors de transferts réels.