Disques Durs

FreeAgent GoFlex Ultra-Portable Drive 1,5 To : Capacité et compacité maximales

Débits en écriture et lecture.

Nous ne travaillons plus en débit mais en temps. Les graphiques se comprennent donc à “l’inverse”. Plus les barres sont importantes et plus le débit est faible.

FreeAgent GoFlex Ultra-Portable Drive 1,5 To : Débits réels en lectureAvec des débits ne dépassant par les 35 Mo/s, l’USB 2.0 est naturellement en dernière position. Nous n’avons pas différence notable entre l’UBS 3.0 et le SATA 3 Gb/s en lecture. Les deux interfaces se valent.

Il était temps que l’USB 2.0 cède sa place. Pour le transfert d’un fichier de 6,1 Go, il faut 185 secondes contre seulement 64 secondes en USB 3.0 soit un temps divisé par trois !

FreeAgent GoFlex Ultra-Portable Drive 1,5 To : Débits réels en écriture

Ici nous nous plaçons dans des exercices d’écriture. Les résultats évoluent entre le SATA 3 G/s et l’USB 3.0. L’USB 2.0 est toujours dernier. Là où le classement était identique en lecture, en écriture les résultats tournent à l’avantage de SATA 3 Gb/s dans trois exercices sur quatre. Les écarts arrivent lors de la manipulation de petits et moyens fichiers et ne sont pas anodins avec parfois une différence de 40% de performances.

Il est difficile de savoir si cela est imputable à l’interface USB 3.0 du Free Agent ou à celle de la carte mère. Une chose est certaine, c’est que l’USB 3.0 est encore jeune et sa maturité va prendre du temps. De nouveaux contrôleurs sont déjà en production avec la promesse d’une augmentation des performances de 50 % en écriture justement.Il faut également souligner que le FreeAgent Go Flex Ultra-Portbale Drive 1,5 To tire son alimentation directement du port USB 3.0 tandis qu’en SATA l’alimentation est assurée en externe. Ces besoins énergétiques ne peuvent pas être alloués partout et en même temps.

Manipulation de fichiers sur la même partition.

FreeAgent GoFlex Ultra-Portable Drive 1,5 To : Performances sur la même partition

Les résultats sont ici identiques . La perte de vitalité de l ‘USB 3.0 en écriture se fait ici ressentir et place ainsi le SATA 3 Gb/s en tête.

Lors de la décompression d’une image ISO de 6,1 Go sur la même partition, nous utilisons les performances en lecture et écriture. L’USB 3.0 se place donc en deuxième position avec des débits moins importants en écriture. Il faut 166 secondes en SATA 3 Gb/s contre 194 secondes en USB 3.0 et 435 secondes (!) en USB 2.0.

Page précédente 1 2 3 4 5 6 7 8 9Page suivante

Jérôme Gianoli

Aime l'innovation, le hardware, la High Tech et le développement durable. Soucieux du respect de la vie privée.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page