Théoriques.
HDTach donne une approche en Mo/s des débits en lecture. Nous obtenons une valeur moyenne sur l’ensemble de la surface du disque, l’Average Speed, et le débit maximum en cache, le Burst Speed.
Ici l’interface USB II limite les débits par sa faible bande passante. Que ce soit en “Average Speed” ou en “Burst Speed“, les deux solutions présentent des débits identiques. Le Replica gagne donc haut la main puisque ce dernier fonctionne en auto-alimentation grâce à sa connexion USB.
Réelles.
Avec les différentes mesures que nous avons entreprises, nous obtenons les caractéristiques de Replica en mode lecture et en mode écriture. Sur chaque graphique est reporté le temps nécessaire pour exécuter une tâche particulière. Plus le temps est bas et plus les débits sont élevés.
On observe tout de suite que le Replica présente des performances bien supérieures lorsqu’il est connecté sur son dock que s’il utilise son câble USB. La double connectique USB du dock est l’explication.
Les différences sont importantes puisque selon le type de connexion, le Replica est soit premier, soit dernier ! Au final, l’utilisation du dock accélère les débits, suivant le type de contenu, en lecture entre 10 et 18% et en écriture entre 14 et 22%.