Crystal Disk Mark 3.0.1c.
Le benchmark Crystal Disk Mark 3.0.1 évalue les vitesses de lecture et d’écriture de différents supports de stockage comme les disques durs classiques, les SSD, les cartes SD ou encore les clés USB. Dans notre cas, nous avons procédé à une mesure des débits séquentiels, et aléatoires sur un espace d’un Go de données. Une moyenne est calculée après cinq tests.
En lecture et écriture séquentielles, le 335-Series 240 Go affiche des débits respectifs de 473,2 Mo/s et 332,3 Mo/s. Face à son grand frère le 330-Series 120 Go, il y a une progression d’une dizaine de Mo/s en lecture et un bond en avant sur les performances en écriture. Ceci s’explique en partie par la capacité qui différence entre ces deux SSD.
En lecture et écriture aléatoires , le classement reste identique. Nous remarquons tout de même une baisse des débits en lecture passant de 473,2 Mo/s à 410 Mo/s et de 332 Mo/s à 309 Mo/s en écriture.
Enfin dans la manipulation de petits fichiers, le chute est importante avec du 27,22 Mo/s en lecture contre du 66,76 Mo/s en écriture.
HDTune Pro 5.
HDTune Pro 5 donne une idée du débit sur l’ensemble de la capacité du support de stockage en informant de ses valeurs minimale, maximale et moyenne.
Face à un disque dur classique, la technologie SSD offre déjà l’avantage de débits constants sur l’ensemble de la capacité de stockage. Ici, HD Tune Pro renvoie un débit moyen de 376.4 Mo/s contre 378,8 Mo/s pour le 330 Series 120 Go.
ATTO.
ATTO est un logiciel de test évaluant les débits en écriture et lecture en fonction de la taille des fichiers (de 4 Ko jusqu’à 8 Mo). Il met en évidence l’algorithme de compression présent avec le contrôleur SandForce puisque il utilise des données hautement compressibles.
Dans cet exercice, les débits en lecture sont quasiment identiques avec ceux du SSD 330 series 120 Go. Il y a en écriture un décrochage constant à partir de fichiers de 16 Ko. La différence, en la faveur du 335 Series 240 Go, s’élève à une vingtaine de Mo/s.
PCMark 7.
PC Mark 7 est la dernière version de la suite PCMark. Il s’agit d’un logiciel de benchmarking dédié à l’environnement Windows 7 avec une évolution des performances dans des différentes tâches rassemblées en trois grandes catégories que sont le multimédia (Entertainement), le création et la bureautique (Productivity). Il teste également la partie stockage avec la mise en œuvre de tâches courantes pour un ordinateur comme l’édition vidéo, la manipulation de fichiers audio, le jeu… Au final, un score est attribué, il permet rapidement d’avoir une information sur les performances.
Sous PCMark, aucune différence notable n’est enregistrée avec des scores très proches. Quel que soit l’exercice, les débits sont quasiment similaires.
Performances réelles.
Temps de démarrage.
Voici le temps nécessaire au démarrage de plusieurs applications comme Windows 7, iTunes, Quicktime, Photoshop SC5 ou encore Far Cry II. Nous avons intégré les valeurs obtenues avec un disque dur classique, le Barracuda XT 2 To.
Ici nous avons utilisé chaque disque comme unité de démarrage sur un connecteur SATA 6 Gb/s géré par le chipset Z77. Windows 7 est installé, ainsi que l’ensemble des pilotes puis les quatre applications.
Le résultat met, sans équivoque, l’avantage d’un disque SSD face à une unité classique même à 7200 trs/mn épaulée d’un cache de 64 Mo. Là où notre Barracuda XT 2 To demande un temps total de 64 secondes, nous exécutons les mêmes tâches avec deux fois moins de temps avec un SSD.
Le 335 Series 240 Go s’offre même la première place avec presque deux secondes de gagnées face au 510 Series 120 Go et quasiment trois secondes face au SSD 330 Series 120 Go.
Temps de décompression d’une archive ISO sur une même partition.
Nous utilisons ici le logiciel WinRar pour décompresser une archive ISO de 6,1 Go sur la même partition. Cet exercice a l’avantage de solliciter chaque unité de stockage aussi bien en lecture qu’en écriture.
Nos trois unités SSD sont clairement plus véloces qu’un Barracuda XT 2 To. Le 335 Series 240 Go prend la main sur son grand frère pour se situer au niveau du SSD 510 120 Go. La décompression prend 47 secondes exactement contre 61,3 secondes avec le 330 Series 120 Go.
Temps pour la copie de différents types de fichiers sur la même partition.
Ce dernier exercice est intéressant car il met en évidence l’algorithme de compression du contrôleur SandForce SF-2281.
Dès que ce dernier peut intervenir, les SSD 330 Series et 335 Series prennent la main sur le 510 Series 120 Go. Le temps respectifs pour la copie d’un ensemble de 4930 fichiers est de 14,64 secondes et 13,8 secondes contre 16 secondes. Dans le cas contraire (4 fichiers de 3,05 Go), le 510 Series reprend la première place avec 24 secondes contre 33 secondes pour le 330 Series et 30 secondes pour le 335 Series.
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