A10-7870K – Bilan des performances

Voici une synthèse de plusieurs activités assez courantes sur un PC. Elle propose de l’encodage audio (iTunes), de l’encodage vidéo (Main concept), de la compression de fichiers (RAR, Zip, Z-Zip) ou encore du rendu 3D (Blender et Cinebench).

Face à la gamme actuelle d’APU, cette A10-7870K permet de booster les performances de 8% en moyenne face à un A10-7800. Il se montre bien plus performant qu’un Core i3-3225 mais n’arrive pas à concurrencer un Core i5-4670K. Il dévoile son potentiel lors de l’exploitation de plusieurs cœurs de calcul où il surclasse ses ainés A10-6800 et 6800K et un Pentium G3258. Si l’application ne sait pas profiter de plusieurs cœurs de calcul, les résultats sont par contre plus mitigés. Notons qu’avec une application capable de profiter de l’OpenCL, les scores de l’A10-7870K s’envolent.

Au final, cet APU dispose d’une puissance correcte pour l’usage courant du PC. Il fait face à des besoins pluriels comme de l’encodage, de la compression et du rendu ou encore de bureautique. Il donne par contre le meilleur de lui-même avec des applications fortement « multithreadées » et devient véloce si l’OpenCL est de la partie.

PCMark 7 et PCMark 8 testent de manière globale une plateforme informatique au travers de multiples épreuves sollicitant différents composants. Les scores obtenus et soumis à la base de données de Futurmark nous informent que notre plateforme se montre 54% plus rapide que l’ensemble des configurations indexées sous PCMark 8 et 81% sous PCMark 7.

Review Overview

Performance

Prestation / Prix

Environnement

Polyvalent et armé pour le gaming

Avec l’A10-7870K, AMD redonne du tonus à son architecture Kaveri surtout sur la partie GPU. Cette puce offre un bon ratio performance/prix. Il vise les joueurs aux budgets serrés avec une partie graphique capable de supporter du Full HD avec des jeux modestes. Le passage à une R9 285 lui apporte d’avantage de tonus pour des titres AAA avec un maximum de détails en 1920 x 1080 pixels ou en 2560 x 1440 pixels. Cette dernière définition demande avec certains jeux de revoir à la baisse le niveau de rendu pour assurer un framerate correct. Le bureautique ne l’impressionne pas tout comme l’encodage vidéo, la compression de fichiers. Il donne le meilleur de lui-même avec des applications fortement « Multithreadées » et si l’OpenCL est de la partie, les performances s’envolent.