Test : Ferrari GT 2-in1 Rumble Force

LE VOLANT

Grâce à un système ingénieux, la fixation de ce dernier est simple et efficace. En effet, deux parties reliées entre elles par une vis fait office d’étau : un serrage manuel permet alors de garantir une bonne stabilité de l’ensemble. Toutefois le volant dépassant de quelques centimètres du bureau, celui-ci a tendance à bouger vers le haut ou le bas lorsque l’on soulève ou appuie sur ce dernier.

Comme tous les produits de la gamme 2 in 1 de chez Thrustmaster, le volant est pourvu d’une double connectique, USB pour les PC et par embout spécifique pour les consoles de jeux PS2 .

D’un diamètre de 25 cm, ce volant compact tient bien en main grâce au revêtement « gomme » . Deux leviers de chaque coté, à l’arrière, permettent de passer les vitesses « à la volée ».
Idéalement placée, cette commande de boite de type séquentielle vous permettra de gagner quelques précieux centièmes de seconde lors de la montée ou descente des rapports.

Sur la partie supérieure du volant, nous trouvons deux boutons disposés de chaque coté.

Tandis que quatre autres boutons se situent sur la branche droite.

Cela fait un total de huit boutons plus les leviers qui sont programmables à votre convenance (frein à main, changement de vue, vue arrière, mode pause, etc…)

La traditionnelle croix multidirectionnelle se situe quant à elle sur la branche gauche du volant.

Enfin, nous trouvons le bouton select et start ainsi que le bouton permettant d’activer ou de désactiver le mode vibration en cours de jeu sur la branche inférieure.

Une led rouge vous indiquera que le mode vibration est actif tandis qu’elle sera verte si le mode vibration est inactif.

LE PEDALIER

Entièrement composé de plastique, le pédalier a tendance à glisser malgré les cinq patins en caoutchouc situés sur le dessous.

Les pédales sont à mon goût un peu trop rapprochées. Elles sont assez large pour assurer un bon appui du pied et présentent une longue course permettant un dosage précis de l’accélération et du freinage.

Par contre, la position élevée des pieds devient à la longue inconfortable. L ’appui du talon sur l’extrémité du pédalier ne devient plus suffisant pour empêcher ce dernier de glisser vers l’avant.
De plus, le ressort pour enfoncer les pédales est trop rigide et oblige à fournir un effort devenant fatiguant après plusieurs minutes de jeux..

Pour relier le pédalier au volant, le constructeur a opté pour un cable de type RJ45.

Les pilotes.

Un CD de pilotes est fourni mais il est tout de même indispensable de télécharger gratuitement sur le site du fabricant la dernière mise à jour afin de profiter d’un maximum de compatibilité avec les jeux.

Une fois l’installation terminée, nous découvrons le panneau de configuration (control panel) qui permettra de calibrer et tester les vibrations.