En début d’année Corsair a annoncé une importante mise à jour de sa gamme de PC gaming One avec l’annonce du One i300. L’engin s’équipe de la dernière génération de processeur Core d’Intel alias Alder Lake-S.
Sa mécanique s’appuie sur un processeur Intel Core i9-12900K accompagné d’une GeForce RTX 3080 series, d’un SSD M.2 NVMe de 1 ou 2 To ou encore de 32 ou 64 Go de DDR5 VENGEANCE. Tout ce petit monde alléchant est logé dans un boitier unique en forme de tube. Il profite d’une approche originale mêlant Watercooling Fanless et Aircooling.
Nous avons eu la chance de le tester durant plusieurs jours dans différents contextes. Est-il puissant ? Silencieux ? De manière globale, est-il à la hauteur de son tarif débutant à 4099 euros ?
Dans le monde passionnant du PC, nous avons trois approches possibles pour dénicher la configuration de ses rêves. La première, le DIY, consiste à mettre les mains de le cambouis et d’acheter chaque composant afin de construire sa machine en fonction de ses critères, besoins et possibilités financières.
L’autre approche est d’acheter une base et de la compléter avec de la mémoire et du stockage, il s’agit d’un Barbone. Certains constructeurs vont un peu plus loin en proposant d’installer soi-même le processeur de son choix.
Enfin, nous avons les configurations « clé en main ». Elles ont l’avantage d’être opérationnelles en sortie de carton et de s’accompagner d’une garantie globale. C’est le choix de Corsair avec cette serie One i300.
La gamme se compose de deux versions basées sur le même processeur, un Core i9-12900K. Il est logé dans un volume de 12 litres. A ses cotés, le constructeur propose une GeForce RTX 3080 Ti ou une GeForce RTX 3080 et un SSD NVMe PCIe 4.0 de 2 To. Enfin pour la mémoire vive, la capacité est liée à la carte graphique. Nous avons soit 32 Go ou 64 Go de DDR5 à 4800 MHz.
Cette liste de composants ne laisse guère de doute sur l’orientation de ce One i300. Corsair vise les joueurs les plus exigeants. Le duo Core i9-12900K et GeForce RTX 3080 Ti offre des performances parmi les meilleures du marché. Vous pouvez relire nos deux tests dédiés
Nous retrouvons le fameux boitier conçu et développé spécifiquement pour cette gamme.
Il s’agit d’un modèle exclusif qui n’est pas disponible « vide ». L’approche est de proposer une machine compacte capable de se positionner sur un bureau au côté d’un écran. Sa connectique est placée pour cet usage en façade.
Nous retrouvons un design épuré et minimaliste. Les panneaux latéraux amovibles sont en aluminium microbillé.
Leurs multiples ouvertures en triangle améliorent la circulation de l’air tout en jouant sur le look.
Ce dernier s’appuie sur une forme en rectangle mais aux angles arrondis. Le noir généralisé est de rigueur permettant de mettre en avant deux liserés verticaux RGB. Ce rétroéclairage est personnalisable au travers de l’application maison iCUE. Elle offre aussi des options de personnalisation autour du refroidissement. Nous en reparlerons un peu plus bas dans cet article.
La machine se montre robuste et stable une fois posée sur le bureau. Elle repose sur un pied équipé d’une bande circulaire en caoutchouc pour limiter les transferts de vibration.
Les matériaux sont « premium » et s’accompagnent d’une finition travaillée. Sur le haut, un gros radiateur chapote un ventilateur en charge d’évacuer l’air chaud de la machinerie. Ce ventilateur peut fonctionner selon deux profils différents.
Placée sur le bas, facilitant ainsi l’utilisation d’un périphérique USB (casque, clé, disque externe…), la connectique se compose de deux ports USB Type A à 5 Gbps, d’un port USB Type-C à 10 Gbps et d’un jack audio.
Le bouton Power est placé sur le haut. Par contre, pas d’évolution depuis notre test du One i165. Le bouton Power n’est pas rétroéclairé. Du coup, pas facile de savoir si le PC est en cours de démarrage si le RGB n’est pas actif. De même, nous n’avons pas d’indication lumineuse autour de l’activité de l’unité de stockage.
De son côté, la connectique arrière de la carte mère propose quatre ports USB Type A à 5 Gbps, deux ports USB Type A à 10 Gbps, deux ports Thunderbolt 4, les HD Audio, trois sorties DisplayPort et une sortie HDMI. La connectique réseau s’arme d’un RJ45 2,5G, du Wi-Fi 6E et du Bluetooth 5.12.
Tout ce petit monde est assuré par une carte mère MSI personnalisée. A la base, il s’agit de la MEG Z690I Unify DDR5 mais retravaillée pour répondre aux besoins de Corsair. Elle accueille un Core i9-12900K et 2 x 32 Go de mémoire vive. Il s’agit de DDR5 calibrée à 4800 MHz CL40.
Important.
Intel a introduit avec ses processeurs plusieurs notions autour des besoins énergétiques. Nous avons désormais droit au PL1, PL2 ou encore au Tau. Le PL1 représente une limite de puissance à long terme tandis que le PL2 incarne la limite de puissance à court terme. De son côté, le Tau est la durée durant laquelle le processeur fonctionne en PL2 avant de passer automatiquement en PL1.
Interrogé sur cette question, Corsair nous a expliqué que pour le One i300, le paramétrage a été pensé pour assurer un fonctionnement en toute sécurité jusqu’à une température ambiante de 35°C. Ainsi, le PL1 du Core i9-12900K est fixé à 165 Watts en continu et 175 Watts en pointe durant 2 secondes.
Du coté du stockage, nous retrouvons un SSD NVMe Samsung de 2 To tirant avantage de quatre lignes PCIe 4.0. Il s’agit d’un PM9A1. Il s’accompagne d’un radiateur en aluminium assurant de manière passive son refroidissement.
Comme nous l’avons indiqué plus haut, le mode de refroidissement du boitier s’appuie sur la convection de l’air. Le flux part du bas vers le haut. Les multiples ouvertures latérales triangulaires favorisent le passage de l’air au travers de deux radiateurs de Watercooling AIO. Nous n’avons pas de ventilateur.
Le flux est uniquement assuré par le ventilateur du haut. L’accès à sa configuration est assez simple.
Un bouton arrière désolidarise le haut ce qui libère l’accès à quatre petites vis cruciformes.
Une fois retirées, les deux panneaux latéraux sont libérés du châssis. En latéral, nous retrouvons deux radiateurs de Watercooling AIO.
Ils assurent le refroidissement du processeur et du GPU.
La carte graphique s’arme en plus de deux ventilateurs supplémentaires placés sur deux radiateurs différents. A cela s’ajoutent plusieurs caloducs en cuivre en charge de transporter la chaleur vers les zones de dissipation thermique.
Sachant que boitier se veut compact, la carte graphique est placée à la verticale. Des adaptateurs permettent de déporter sa connectique vidéo vers l’arrière.
Enfin, l’alimentation est confiée à un bloc de 750 Watts au label 80Plus Platinum.
Le CORSAIR ONE offre un contrôle sur le système de refroidissement via iCUE. La courbe de ventilation prête à l’emploi du système est programmée pour favoriser le silence.
Il est cependant possible de choisir un autre profil avec:
L’application iCUE propose aussi des options autour du rétroéclairage du boitier. Ces deux bandes lumineuses avant sont équipées de quatre LED chacune.
Les onglets Éclairage matériel et Effet d’éclairage proposent de choisir différents effets et couleurs. Dans le premier cas, il s’agit d’une configuration de l’éclairage lorsque iCUE n’est pas en cours d’exécution. Soulignons que certains jeux intègrent iCUE. Du coup, le boitier peut proposer un éclairage immersif unique en fonction des actions à l’écran.
Nous avons utilisé différents benchmarks, applications et jeux pour ce dossier afin de connaitre en détails les prestations de ce One i300
Benchmarks théoriques.
Benchmarks réels.
Les consommations électriques sont prises à l’aide d’un wattmètre. Elles correspondent à la demande globale de la plateforme. Nous avons également testé plusieurs jeux vidéo 1440p et 4K Full Option. Le Ray Tracing n’est jamais activé ni la technologioe DLSS.
Jeux vidéo
Nous l’avons mis en compétition face à son grand frère le One i165 dont vous pouvez relire notre test ici :
Nous avons fonctionné avec une machine au repos puis à 100% de ses capacités c’est-à-dire avec un processeur et la carte graphique à 100%.
Nous avons des besoins compris entre 78,4 et 574,3 Watts selon le niveau de sollicitation du duo CPU/GPU. Les besoins énergétiques sont donc importants. La différence face à son grand frère n’est pas négligeable. Selon le niveau de charge, elle se situe entre 35,7 et 139,7 Watts.
Ces besoins vont probablement mettre à rude épreuve les deux Watercooling AIO. Nous en reparlerons un peu plus bas dans cet article. Soulignons la présence d’un bloc au label 80Plus Platinum permettant de limiter le gaspillage énergétique.
Les consommations au repos et en burn permettent de calculer le coût annuel de fonctionnement de notre plateforme et son empreinte carbone de fonctionnement.
Notre base de travail est une utilisation quotidienne de 6 heures par jour, 365 jours par an avec un tarif de 0,1558 € le kWh facturé (tarifs réglementé métropole au 01/01/2021 d’EDF pour une puissance souscrite de 6 kVA).
L’indicateur EDF, en gramme d’équivalent CO2 pour la production de 1 kWh, est fixé à 21,6 grammes (période novembre 2020 à novembre 2021). Il est synonyme du taux de rejet de gaz à effet de serre induit par la production de l’électricité consommée.
Avec des besoins énergétiques plus importants, il est logique que la facture s’alourdisse.
Le cout de fonctionnement annuel du One i300 se situe entre 26,75 € et 199,36€ contre 14,57 et 149 € pour le One i165.
Nous avons le même bilan sur la question de l’empreinte carbone de fonctionnement. Elle grimpe de 20,56 à 27,64 kilogrammes d’équivalent CO2 au maximum à l’année.
Nous avons testé le système de refroidissement avec les deux profils disponibles en natif (défaut et extrême). Par défaut, nous avons un bilan positif avec une machine discrète la majorité du temps. Son ventilateur supérieur devient audible lors de fortes demandes de calculs. Nous enregistrons les plus importantes nuisances sonores en gaming car le processeur et la carte graphique sont fortement sollicités. Dans ce contexte, notre sonomètre grimpe au maximum à 41,4 dBA, de quoi se montrer légèrement moins bruyant que le One i165.
Le mode “Extreme” est bien plus imposant. Le PC devient clairement audible. Notre sonomètre enregistre des nuisances sonores entre 46,8 et 47,5 dBA. Le bruit est là. Corsair indique que le mode “Extreme” fait turbiner le ventilateur supérieur à son maximum. Nous devrions donc retrouver le même bilan au repos et en charge. En réalité, le mode “Charge” fait fonctionner la carte graphique à plein régime. Ses deux ventilateurs se mettent alors à fonctionner de manière bien plus importante.
Les tests ont été menés dans une pièce à la température de 24°C. Le One i300 a une configuration musclée et surtout gourmande en énergie.
En mode “Défaut”, le choix de Corsair d’utiliser un AIO Fanless montre ses limites. Notre Core i9-12900K s’accompagne d’un PL1 de 165 Watts et en forte sollicitation, les 100°C sont rapidement atteints ce qui déclenche la protection Thermal Throttling. Nous avons du coup une baisse de la fréquence à 4,63 GHz au lieu des 4,7 GHZ normalement attendu. Il y a une conséquence puis le processeur perd un peu en puissance.
Nos tests montrent une chute de 4,2% en moyenne face à une Core i9-12900K à pleine puissance.
L’adoption du profil “Extrême” permet d’abaisser la température du processeur à 89°C. Nous avons également des améliorations au niveau de tous les composants critiques comme le GPU, le chipset et la mémoire vive. Les gains entre les modes Defaut et Extreme ne sont pas anecdotiques. Le processeur perd 11°C, le GPU 4,5°C, le Chipset 11°C et le RAM 10°C.
Remarque.
Le SSD NVMe M.2 2280 PCIe 4.0 x4 est de son coté équipé d’un dissipateur de chaleur. Malheureusement, il n’est pas suffisant pour maintenir sa température sous une valeur critique, déclenchant là encore le protection Thermal Trottling. Comme le montre notre capture d’écran, l’ajustement de ses performances peut être violent. Dans notre cas, le débit est passé de plusieurs Go/s à plusieurs centaines de Mo/s.
Le bilan va être rapide. Avec la présence du duo Core i9-12900K et GeForce RTX 3080 Ti, notre One i300 est un petit monstre de puissance en gaming. Il est armé pour les hautes et très hautes définitions sans se soucier des options graphiques.
Nous avons un framerate au minimum de 112 fps en 1440p, ce qui est parfait. Tous les titres fonctionnent en Full Option. Le gameplay est optimal. Le 4K est plus contraignant mais nous enregistrons au minimum du 73,7 fps. La barre des 60 fps est encore loin. Nous avons ainsi un rendu de qualité avec du répondant et de la précision, bref là encore le bilan est parfait.
Face à son grand frère , le One i165, nous avons une belle progression des performances. En 1440P, la hausse est de 39% contre 47% en 4K.
Voici à présent les débits proposés par les différentes interfaces du One i300. Il est impératif d’utiliser des périphériques externes capables de prendre en charge les dernières évolutions de l’interface USB.
Avec un Vision Drive de 1 To de Gigabyte (SSD externe USB-C compatible avec l’interface USB 3.2 Gen2x2), nous enregistrons des débits de 464 et 463 Mo/s en lecture et écriture séquentielles pour l’USB 3.1 Gen 1 et du 1056 et 1051 Go/s pour l’USB 3.1 Gen 2. Nous retrouvons des prestations très proches du One i165.
Par contre, l’adoption du SSD NVMe PCIe 4.0 x4 permet de doubler les débits en lecture et écriture séquentielles. Nous passons des valeurs de 3479 Mo/s et 2361 Mo/s à du 6658 Mo/s et 4999 Mo/s. En usage réel, les temps ne sont pas divisés par deux mais le chargement des logiciels, des jeux et les sauvegardes automatiques sont plus rapides.
Pour évaluer les débits des différentes connexions réseau, nous nous sommes placés dans un cas concret. Les transferts ont été réalisés à l’aide d’un fichier de 8.73 Go entre deux unités SSD sur deux ordinateurs différents du même réseau.
Attention : Notre infrastructure réseau ne nous permet pas d’exploiter du 2,5 Gb. Nous sommes limités à 1 Gb.
Nous avons de bons résultats avec un débit de 110 et 111 Mo/s en lecture et écriture en filaire. Le bilan est légèrement à l’avantage du One i300. En Wi-Fi, nous avons par contre une envolée des débits avec 79,8 Mo/s en lecture contre 109 Mo/s en écriture.
Nous avons évalué la bande passante mémoire avec le benchmark AIDAExtreme X64.Nous avons intégré quelques résultats avec d’autres kits mémoire DDR4.
L’adoption de la DDR5 permet de profiter d’une bande passante mémoire bien plus importante face à la DDR4 Nous enregistrons un débit de 73 Go/s en lecture et 72 Go/s en écriture. Nous sommes loin devant les 38 et 41 Go/s proposés par le One i165.
Voici à présent les scores obtenus avec les benchmarks PCMark 10. Il accomplit plusieurs tests différents pour évaluer les performances globales d’un PC dans différentes situations comme de la bureautique et du multimédia.
Ce benchmark permet de mettre en évidence les avancées proposées entre les deux machines. La hausse des performances concerne les trois domaines de tests, Essentials, Productivity et Digital Content Creation. Ce dernier enregistre la plus forte progression en raison d’une multiplication des cœurs entre le Core i9-9900K (8C/16T) et le Core i9-12900K.
Au final, ce One i300 répond à tous les besoins du PC moderne. Sa mécanique propose des performances répondant à tous les besoins. Que nous parlions de gaming, de création 3D, de la bureautique, de productivité, de vidéo ou de forts calculs, il offre des capacités « Premium » le positionnant sur l’Ultra haut de gamme.
Voici d’autres résultats montrant la différence de puissance entre le Core i9-9900K et le Core i9-12900K.
Ce One i300 est une évolution majeure du One i165 lancé en 2020 par Corsair. Il conserve son ADN mais nous avons un changement radical de plateforme avec à la clé une augmentation importante de la puissance. Corsair rassemble des composants haut de gamme dans un volume de 12 litres. Nous retrouvons une des meilleures mécaniques actuelles pour répondre aux besoins des joueurs exigeants. Que nous parlions de 1440p et de 2160p, tout est là pour jouer sans se poser de question avec des paramètres graphiques au maximum.Le boitier profite d’une conception soignée avec une intégration de tout premier plan. La technologie est là pour rassembler des composants parmi les plus performants du marché dans un espace réduit tout en s’appuyant sur deux Watercooling AIO fanless pour évacuer la chaleur. A l’usage, nous avons un PC agréable à la robe travaillée prenant facilement place dans différents environnements. L’intégration est cependant complexe rendant difficile les évolutions futures de la machine.Malgré un bilan positif, le système de refroidissement dévoile tout de même ses limites. La protection Thermal Trottling s’active au niveau du processeur et du SSD ce qui étouffe malheureusement les possibilités du One i300 lors de fortes sollicitations sur le long terme.
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Ce pc gamer semble être un vrai monstre puissant.
C'est clair qu'il turbine mais le prix est conséquent....un jeu concours GinjFo ? Please :)
Big conf big prix
PS. Le plus important sur ce genre de config c'est l'espace à l'intérieur d boîtier donc l'aération et la ventilation . Sinon je donne pas chère à ce genre e machine ou tout les composants sont bien trop poche les un aux autres . De plus on risque d'être aussi limiter niveau stockage NVMe (moi par exemple j'ai 2NVMe sur ma cm (PCIe 4.x) + 3SSD en SATA) , sur l'article on parle juste d'un seul NVMe 1 ou 2To qui a déjà du mal à refroidir , et j'imagine que pour la ram cela doit être la même chose (donc encore une limite de plus au niveau de la ram , ainsi que les NVMe , c'est une cm moderne donc elle supporte sûrement 2 ou 3 NVMe en PCIe 4.x donc chauffe + chauffe + chauffe = méga chauffe) et c'est juste 2 exemple . . . J'aime bien corsair mais là ils cible clairement les pigeons ...
Un peu chère pour un si petit boîtier qui risque de décevoir bien plus de gens que de les satisfaire. Sauf si on ne l'utilise pas trop pour le gaming . Comme vous le disais des qu'il chauffe en pleine charge c'est une catastrophe > perte importante en fps > cause du CPU qui va baisser un max en fréquence > GPU dans un boîtier étouffant = chute de perf aussi . Puis une config sous Ryzen aurait était bien plus intéressant car consomme moin que les CPU Intel . Intel qui rattrape pas vraiment son retard vue que c'est un poil de cul plus performant que des Ryzen 5000 sorti il y a déjà un peu plus de 2 ans donc pas glorieux les CPU Intel qui ont aussi pour réputation de chauffer énormément . Donc ouai faire de test qqe jours c'est sympa mais dans le temp va t'il vraiment tenir bien longtemps ?! A l'heure où les refresh GPU sont arrivés (et les nouvelles gamme déjà en cours de prod ainsi que les RTX4090 et RX7900 XT) , puis les Ryzen 7000 / DDR5 / PCIe 5.x etc etc ...4000e pour une config qui est déjà "dépassé" (oui à ce prix on à le droit de dire dépasser) .Ça pique un peu !!
Quid des jeux en test ? Pourquoi ne pas avoir tester la bête avec des jeux derniers cri comme Far Cry 6 par exemple ? (Je soupçonne d'avoir fait les test sur des jeux un peut plus ancien pour faire un max de point dans les bench ...) .
Au niveau boîtier L ANTEC SIGNATURE S10 RESTE LE MEILLEUR
Compares tu un boitier de 12L avec un de 82L?