De nombreux acteurs proposent des PC Gaming clé en main. Nous avons eu la possibilité de tester un modèle signé PCSpecialist. Facturé sous la barre des 1500 €, il s’arme d’une GeForce RTX 30 series, d’un processeur 6C/12T, de DDR4 3600 MHz, d’un SSD M.2 de 1 To ou encore d’un disque dur SATA de 2 To.
L’ensemble est proposé au travers d’un boitier racé, équipé de plusieurs ventilateurs et d’une alimentation 550 Watts. L’ensemble est livré monté et prêt à l’emploi. Nous l’avons torturé en détail dans différents contextes pour connaitre ses performances, ses possibilités tout en s’attachant à analyser sa demande énergétique, son coût d’exploitation, la performance de sa ventilation et son silence de fonctionnement. PCSpecialist porte-il bien son nom ? Verdict.
Présentation
Il existe deux approches lorsque l’on souhaite s’équiper d’un PC en plus particulièrement d’un PC gaming. D’un côté, nous avons le DIY, le faire soi-même. L’idée est d’acheter chaque composant individuellement puis de monter l’intégralité de la configuration. Cette aventure est passionnante mais elle demande du temps et de se documenter. L’autre approche est plus rapide puisque la mission est confiée à un spécialiste. Moyennant un tarif plus élevé, il propose ses services pour élaborer une configuration pensée pour répondre aux usages annoncés et de l’autre assurer son montage et sa garantie.
C’est justement cette approche que nous avons testé au labo. L’ordinateur en question nous a été livré prêt à l’emploi. L’opération pour le mettre en route s’est résumé à la sortie du carton à enlever une protection en interne puis à supprimer les plastiques protecteurs du panneau en verre trempé. Ensuite, nous avons branché un clavier, une souris, un écran et appuyé sur le bouton Power.
L’engin se présente au travers d’un format Moyen Tour. Le boitier est particulièrement accrochant avec trois imposants ventilateurs RGB à l’avant.
Nous ne sommes pas sur un terrain inconnu car le boitier en question est signé Cooler Master, il s’agit du MasterBox TD500 Mesh. Nous retrouvons un ensemble travaillé au style indéniable.
Les côtés racé et sport sont là, en particulier avec cette face avant en Metal Mesh constitué de multiples facettes. Ce choix permet au boitier de respirer mais aussi de changer d’apparence en fonction de l’angle de vision.
La gestion de l’aRGB peut être faite avec une télécommande filaire disponible en bundle ou via le soft de la carte mère. Tout est connecté à la carte mère, il n’y a donc aucune question à se poser du coté du branchement.
La face avant atypique s’accompagne en latéral d’un panneau entièrement en verre trempé présentant sur ses parties supérieure et inférieure des lignes marquées.
Il permet de profiter de l’éclairage RGB de la carte graphique et des trois ventilateurs avant.
La connectique est placée sur le haut sur un plan légèrement incliné. Elle se compose de deux ports USB 3.2 Gen 1 Type A, de deux jacks audio (Micro, casque), d’un bouton Power et d’un bouton Reset. Nous retrouvons également deux petites LED (mise son tension et activité de l’unité de stockage).
Je n’ai pas résisté à l’envie d’ouvrir l’engin pour découvrir sa mécanique. Le rangement des câbles est de belle facture.
Cela touche l’avant mais surtout l’arrière.
Les différents faisceaux sont rassemblés et bien plaqués sur le plateau à carte mère. Ils sont positionnés de telle manière que leurs longueurs correspondent exactement au besoin.
De coup, il n’y a pas de surplus de câble venant obstruer le passage de l’air. L’alimentation utilise également un design plat des câbles ce qui aide au rangement. Il s’agit d’un modèle Corsair, une TX550M, proposant une gestion semi modulaire des câbles. Un faisceau non utilisé est présent en bundle. Il propose quatre Molex. A noter que le bloc d’alimentation répond au label 80Plus Gold. Cette distinction assure un haut de rendement ce qui limite le gaspillage énergétique.
La ventilation est assurée par trois ventilateurs de 120 mm positionnés à l’avant. Capables de turbiner au maximum à 1200 rpm, ils apportent de l’air frais à la configuration. Il n’y a par contre aucun ventilateur en extraction.
Le processeur est refroidi par un ventirad équipé de deux ventilateurs montés en mode Push Pull. Le premier aspire l’air et le second l’expulse. La carte mère est un modèle Asus, une Prime B550-Plus. Elle s’architecture autour d’un chipset B550 d’AMD. Son équipement répond à la majorité des besoins. Nous retrouvons un port PCIe 4.0 x16 câblé en x16 utilisé par la carte graphique, un second port PCIe 3.0 x16 câblé en x4 et trois PCIe 3.0 x1. Le stockage est confié à six ports SATA 6 Gb/s et deux ports M.2 dont le premier est à la norme PCIe 4.0.
Sa connectique arrière comprend deux ports USB 3.2 Gen 2, quatre ports USB 3.2 Gen 1, deux ports USB 2.0, des sorties vidéo DisplayPort et HDMI, un port RJ45 (Réseau filaire 1Gb) et les classique Jacks audio ainsi qu’une sortie optique S/PDIF.
Du coté du processeur, nous retrouvons une puce AMD, un Ryzen 5 5600X. L’engin embarque six cœurs physiques et 12 cœurs logiques, le tout propulsé à une fréquence de base à 3,7 GHz contre un mode boost maximal de 4,6 GHz. Son équipement comprend 3 Mo de cache L2, 32 Mo de cache L3 et un contrôleur mémoire prenant en charge de la DDR4 3200 MHz. A ce sujet, PCSpecialist va un peu plus loin en équipant son PC de 2 x 8 Go de DDR4 à 3600 MHz CL18. Ce kit est signé Corsair, il s’agit de Vengeance LPX. Chaque barrette s’accompagne d’un dissipateur thermique noir. Nous n’avons pas de rétroéclairage.
Sur la question « cruciale » de la carte graphique, nous avons droit à une GeForce RTX 3060 personnalisée. La belle est un modèle MSI, il s’agit de la GeForce RTX 3060 GAMING X TRIO 12G. Nous avons un imposant système de refroidissement basé sur trois ventilateurs et une plaque arrière. La carte impose et se remarque dès la mise sous tension grâce à sa ligne aRGB en latéral.
Coté stockage, un SSD M.2 2280 de 1 To est positionné sur le premier port M.2 tandis qu’un disque dur 3,5 pouces de 2 To est placé dans un tiroir de la cage HDD .
Elle est positionnée dans le compartiment inférieur du boitier où nous retrouvons à l’arrière le bloc d’alimentation. L’architecture est donc compartimentée avec une chambre principale dédiée à la carte mère, ventirad tour et les cartes filles. L’espace à l’avant est totalement dégagé afin de ne pas perturber le flux d’air généré par les trois ventilateurs avant. Le disque dur est un modèle Seagate, un Barracuda ST200DM008 turbinant à 7200 tr/mn et équipé d’un cache de 256 Mo.
Enfin du Wi-Fi est également de la partie au travers d’une carte fille PCIe 3.0 1x. Il s’agit d’une solution Tenda N300 W322E proposant au maximum un débit de 300Mbps.
Au final, ce PC Gaming clé en main s’arme d’une configuration solide pour répondre aux besoins d’un joueur. Son look lui apporte un style racé. Il ne manque pas de se faire remarquer sur un PC. La présence d’un panneau en verre trempé permet de mettre en avant sa mécanique au travers d’un rétroéclairage aRGB personnalisable. Son assemblage est de belle facture, il n’y a rien à redire. Le montage est de qualité avec une organisation bien pensée sans surplus de câble ni de fausse note.
Par contre, que faut-il attendre de ses performances ? Est-il apte à faire tourner les derniers titres en Full HD et Full Option ? Le 1440p est-il envisageable ? Son processeur et sa mémoire permettent-ils de répondre à des besoins musclés comme de l’encodage vidéo, de la compression de fichiers, de l’encodage audio ? Est-il silencieux ?
Protocole de test
Nous avons utilisé différents benchmarks, applications et jeux pour ce dossier afin de connaitre en détails les prestations de ce PC Gaming PCSpecialist
Benchmarks théoriques.
- PCMark 10
- AIDA Extreme
- CrystalDiskMark 6.0.2 x64
Benchmarks réels.
- Cinebench R15 et R20
- Encodage vidéo HandBrake (Encodage d’un fichier vidéo d’environ 6.27 GB en 3840 x 1714, 73.4 Mbps, 24fps, H.264, .mov en un fichier video d’environ 1480 MB en 1920×858, ~17.1 Mbps, 24fps, H.264, .mp4)
- Compression : WinRar, Z-ZIP et Zip Windows 10 (154 fichiers d’un poids total de 384 Mo),
- Compression audio avec iTunes 12.1.2 64 bits (10 fichiers MP3),
- Pov-Ray 3.7,
- X264 FHD.
Les consommations électriques sont prises à l’aide d’un wattmètre. Elles correspondent à la demande globale de la plateforme. Nous avons également testé plusieurs jeux vidéo 1080p et 1440p.
Jeux vidéo (Rasterisation)
- Metro Exodus (Option graphiques sur High)
- Far Cry 5 (Options graphiques sur Ultra + Textures HD)
- Doom Eternal (Options graphiques sur Ultracauchemar)
- Shadow Of Tomb Raider (Option graphique sur très haut)
- Total War Warhammer (Options graphiques sur Ultra)
- Horizon : Zero Dawn (Options graphiques sur Ultime)
- Fortnite (Options graphiques sur High).
- Watch_Dog Legion (Options graphiques sur très élevées)
Jeux (Ray Tracing + DLSS)
- Metro Exodus (Option graphiques sur High, RT sur moyen et DLSS sur Quality)
- Doom Eternal (Options graphiques sur Ultracauchemar, RT, DLSS sur Performance)
- Shadow Of Tomb Raider (Option graphique sur très haut, RT sur moyen et DLSS)
- Fortnite (Options graphiques sur High).
- Watch_Dog Legion (RT sur moyen, DLSS sur Quality)
Consommations et empreinte environnementale
Consommations électriques
Nous avons fonctionné avec une machine au repos puis à 100% de ses capacités c’est-à-dire avec un processeur et la carte graphique à 100% et de multiples exercices de lecture et d’écriture sur les deux unités de stockage tout en sollicitant la mémoire vive.
Les besoins énergétiques sont assez modestes avec une consommation se situant entre 65 et 285 Watts selon la sollicitation du PC. Ce résultat est le bilan d’un processeur au TDP de 65W et d’une solution graphique à 170W. Ceci explique également la présence d’une alimentation de seulement 550 Watts. A noter que cette puissance correspond exactement à celle recommandée par MSI pour sa GeForce RTX 3060 GAMING X TRIO 12G.
Que nous parlions d’empreinte carbone ou de coût de fonctionnement, ils sont directement liés à la demande énergétique de notre plateforme. Les consommations au repos et en burn permettent de calculer le coût annuel de fonctionnement et son empreinte carbone de fonctionnement.
Notre base de travail est une utilisation quotidienne de 6 heures par jour, 365 jours par an avec un tarif de 0,1582 € le kWh facturé (tarifs réglementé métropole au 01/02/2021 d’EDF pour une puissance souscrite de 6 kVA).
L’indicateur EDF, en gramme d’équivalent CO2 pour la production de 1 kWh, est fixé à 19.3 grammes (période de décembre 2019 à décembre 2020). Il est synonyme du taux de rejet de gaz à effet de serre induit par la production de l’électricité consommée. Il s’agit de la moyenne 2019/2020 de novembre à novembre.
Le coût de fonctionnement du PC à l’année se situe entre 22,6 et 98,57 € tandis que son empreinte carbone se situe entre 2,8 et 12 kilogrammes d’équivalent CO2.
Nous sommes sur un bilan positif pour un PC gaming. En général, une telle configuration monte rapidement dans les Watts. Par exemple, le One i165 de Corsair titille avec les 450 Watts à pleine charge soit un coût de fonctionnement à l’année pouvant atteindre les 150 €.
Refroidissement et silence.
Nous avons vu que le boitier est équipé en natif de trois ventilateurs de 120 mm placés à l’avant. Le processeur est refroidi par un ventirad tour épaulé de deux ventilateurs montés en mode Push Pull. Tout ce petit monde est connecté à la carte mère.
Il est impératif de mettre à jour les différentes applications Asus. Ensuite, nous vous recommandons de lancer un calibrage de la ventilation afin de profiter des différents profils de ventilation. Lors de mes tests, j’ai opté pour le mode silence.
Les températures sont assez bien maitrisées dans l’ensemble. Le mode Silence propose un rapport bruit / performance optimisé pour réduire au minimum les nuisances sonores. Ceci explique la température élevée du processeur frôlant après un burn de 10 minutes avec les 72°C. Le GPU ne dépasse pas les 62°C ce qui est parfait tandis que la carte mère et les deux unités de stockage sont bien ventilées.
Du coté des nuisances sonores, ce PC Gaming en mode silence est discret puisque notre sonomètre se positionne entre 35,8 et 36,6 dBA. Au repos, les trois ventilateurs avant sont à l’arrêt et les deux ventilateurs du ventirad tournent au ralenti. En charge, les vitesses de rotation ne s’envolent pas et le système de refroidissement de la carte graphique ne monte pas dans les tours. Tout ceci permet au PC d’être silencieux. Il peut dans ce contexte se positionner sur un bureau aux cotés de l’écran. Le disque dur Seagate se montre également peu bruyant.
Performances gaming
Nous voici au cœur de nos interrogations. Le duo Ryzen 5 5600X et GeForce RTX 3060 permet-il de répondre aux besoins d’un joueur ?
Nous avons une configuration taillée pour du 1080p avec des options graphiques sur “élevées”. Quel que soit le titre, le framerate est solide avec un bilan au-dessus des 60 images par seconde. Sur l’ensemble de nos tests, il se situe entre 83 et 189,2 images par seconde. Le gameplay est donc agréable avec du répondant et de la fluidité.
Le passage à du 1440p est possible. Là encore, nous avons un framerate supérieur à 60 images par seconde. Il n’y a rien à redire. Attention tout de même car avec certains titres comme Watch_Dogs : Legions ou Metro Exodus, nous sommes proche de cette valeur limite à nos yeux. Du 90 images par seconde est aujourd’hui la barre à atteindre pour jouer avec du confort sans se soucier d’une baisse importante du Framerate si la scène vient à se complexifier de manière très importante.
La carte graphique est un modèle Nvidia prenant en charge le Ray Tracing et la technologie DLSS. Le ray Tracing est une technique de rendu sollicitant fortement le GPU. Le DLSS tente de maintenir les performances afin de profiter d’un rendu plus réaliste tout en conservant un framerate musclé.
En 1080p, nous avons des framerates entre 62 et 183 fps par seconde selon le titre contre 47 et 135,5 fps en 1440p. Il en découle que le Ray tracing est conseillé surtout en 1080p. Pour de meilleures résultats, je vous conseille de ne pas être trop exigeant et de privilégier le mode performance du DLSS.
Performances des interfaces
La connectique externe offre de solides débits. Armé d’un disque flash Vision drive de 1 To, je dépasse 1 Go/s en USB 3.2 Gen 2 et 445 Mo/s en USB 3.2 Gen 1. En interne, le SSD M.2 2280 NVMe propose 2 Go/s en lecture séquentielle contre 1,6 Go/s en écriture séquentielle. Nous ne sommes pas devant une solution haut de gamme puisque certaines références dépassent aujourd’hui 7 Go/s. Les débits restent cependant solides. Nous sommes quatre fois plus rapides qu’un classique SSD 2,5 pouces SATA 6 Gbps. Enfin, le disque dur plafonne à 200 Mo/s dans le meilleur des cas. Je le conseille pour du stockage de données comme des vidéos, des photos des documents ou des applications pouvant être considérées comme secondaires.
A noter que durant tous les tests, aucune baisse de débits avec le SSD M.2 2280 n’a été constatée.
Pour évaluer les débits des différentes connexions réseau, je me suis positionné dans un cas concret. Les transferts ont été réalisés à l’aide d’un fichier de 8.73 Go entre deux unités SSD sur deux ordinateurs différents du même réseau.
En filaire, les débits sont excellents avec 111 Mo/s et 113 Mo/s en lecture et écriture. Le bilan en Wi-Fi n’est malheureusement pas à la hauteur. Les débits sont faibles avec 11,4 Mo/s en lecture contre 7,25 Mo/s en écriture. Cette connexion est à oublier pour du gaming. Il est probable que le système d’antenne soit en partie à l’origine de ces résultats.
Ces mesures sont en relation à la configuration de notre laboratoire avec un routeur placé dans une autre pièce que les deux PC.
Performances mémoire.
Voici à présent la bande passante mémoire avec le benchmark AIDAExtreme X64. j’ai intégré quelques résultats avec d’autres kits mémoire.
PCSpecialist propose de la DDR4 calibrées à 3600 MHz. Du coup, nous gagnons en bande passante face à la DDR4 3200 MHz préconisées par AMD. Le débit atteint 50,34 Go/s en lecture. Par contre, le bilan en écriture est décevant avec 28,8 Go/s. C’est une conséquence de l’architecture du Ryzen 5 5600X exploitant un seul CCD. De son coté, la latence est de 64,5 ns
Performances globales de la plateforme.
Voici a présent les scores obtenus avec les benchmarks PCMark 10. Il accomplit plusieurs tests différents pour évaluer les performances globales d’un PC dans différentes situations comme de la bureautique et du multimédia.
Notre PC Gaming n’a pas à rougir face à une plateforme Core i9-9900K équipée d’une GeForce RTX 2080 Ti. De manière globale, il répond à tous les besoins classiques sur PC. Le processeur Ryzen 5 5600X est armé pour affronter la bureautique, le multimédia, la productivité ou encore des travaux comme du montage vidéo, de l’encodage audio et bien d’autres choses. Dans le domaine de la création et du rendu, il y a plus rapide mais sa puissance est suffisante pour assurer dans un contexte familial et d’amateurs avertis. Par contre pour de lourds travaux, 32 Go de RAM auraient été un plus.
Sous Cinebench R20, ce Ryzen 5 5600X se situe entre les Core i5-11400F et 11600K.
Sous x264 FHD, nous le retrouvons entre le Core i5-11600K et le Core i9-9900K.
Nous avons un bilan assez proche de celui du Core i5-11600K en compression de fichier sauf avec le format Z-ZIP où il se laisse totalement distancer. Vous trouverez d’autres résultats en encodage audio (iTunes) et vidéo (Handbrake) et en création 3D (Pov Ray).
Encodage audio.
Encodage vidéo.
Pov Ray.
Conclusion PC Gaming de PCSpecialist
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Performance
Silence
Equipement
Prestation / Prix
Ce PC Gaming de PCSpecialist propose une solide configuration. Équilibrée, elle offre la puissance pour du gaming en Full HD et Full Option sans se poser la moindre question. Son alimentation 80Plus Gold assure un haut rendement ce qui limite le gaspillage énergétique et ses besoins en refroidissement. A l’usage, après un calibrage de sa ventilation, nous avons un PC silencieux au repos et discret en pleine charge. Son équipement lui permet d’accueillir plusieurs jeux sur sa partie SSD capable de dépasser 2 Go/s en lecture. Les changements sont du coup rapides tandis que son disque dur de 2 To est conseillé pour le stockage de données comme des vidéos et des photos. Des applications « secondaires » peuvent également trouver leur place. Sa conception est travaillée au travers d’un montage de qualité. L’organisation interne, le rangement des câbles ou encore le choix des couleurs sont bien pensés afin de proposer un PC stylé, joli et racé. Nous avons également noté quelques touches appréciables comme la présence d’un support métallique pour la carte graphique. Sa puissance lui permet aussi de répondre à tous les usages classiques d’un PC familial tout en étant armé pour la création. Son seul point négatif concerne le Wi-Fi. Les débits ne sont pas au rendez-vous pour un PC Gaming. Lors de mes échanges, son prix annoncé était de 1456 €. Il est probable qu’il soit revu à la baisse aux regards des fortes baisses de tarif sur le marché de la carte graphique. Enfin, la garantie standard de 3 ans se compose de 2 ans sur les pièces et 3 ans sur la main d’œuvre. Elle s’accompagne également d’une couverture d’un mois des frais d’enlèvement.
Très intéressant !!!
j’arrive a un total de 1250+
encore un point negatif, les RAM
je trouve ca sad, c’est maintenant que la meta est devenue monter son pc sois meme et avoir un watercooling, qu’il y a enfin des pc correct comme ca
PS. bizarre ce cache L3, nan ?
oui bizarre le cache L3, merci de cette vigilance 🙂
Franchement pour quelqu’un qui hésite à monter sa config c’est une alternative. Par contre je suis sur le site et tous les composants ne sont pas disponibles.. il y a du choix mais pas autant que pour le Do It Yourself !