Enfin de l’optimisme ! Selon le New York Times, sur la base des travaux du professeur Jonathan Koomey, les besoins énergétiques des centrées de données ne sont pas si catastrophiques que le prévoyait l’Agence de Protection de l’environnement.
Selon le rapport de Jonathan Koomay, portant sur les dépenses énergétiques des centres de données dans le monde, l’année 2010 s’est soldée par une demande à la hauteur de 1,1 à 1,5 % de la consommation électrique mondiale.
Sa progression de 2005 à 2010 est de 56 %, soit un résultat bien en dessous des prévisions de l’APE (Agence de Protection de l’Environnement) qui tablaient, en 2007, sur plus du double. Sur le territoire American durant cette période la hausse est de +36%.
Jonathan Koomey explique cette différence par plusieurs facteurs dont l’usage de la virtualisation, la montée en puissance du matériel mais surtout par la crise de 2008 et la hausse du prix de l’énergie. Cette dernière se transforme en catalyseur dans la recherche aux économies pour les grandes entreprises.