La téléphonie mobile est un succès colossal, personne ne peut raisonnablement mettre en doute cette affirmation. Les téléphones se sont complexifiés pour devenir de véritable ordinateur miniature apportant un lot de services quasi indispensables. Los Angeles Times soulève, en citant une étude britannique, une conséquence inévitable, nous avons du mal à nous passer de notre téléphone portable. Cette déviance, voir pour certains une maladie, porte le nom de “nomophobie”.
Selon le Los Angeles Times, 66% de personnes interrogées se disent dépendantes de leur téléphone. Elles n’envisagent pas pouvoir être séparées de leur terminal. En général les femmes sont plus touchées (70%) que les hommes (61%). L’âge entre également en compte puisque la nomophobie touche 77% des 18-24 ans contre 68% pour les 25-34 ans.
allaboutconselling.com donne quelques conseils avant d’aller voir un psychiatre pour les cas les plus graves. Le plus important est de prendre rapidement conscience de son état de dépendance.
Il n’en reste pas moins que la nomophobie est une véritable aubaine pour les opérateurs de téléphonie mobile. La politique tarifaire appliquée en France, avant l’arrivée de Free Mobile, serait-elle un élément prouvant sa réelle existence ?
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